Vendredi, Rabat et le Maroc accueillent la 43e assemblée générale élective de la Confédération africaine de football (CAF). S’il n’y a aucun suspense concernant le poste de président, où le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe va succéder au Malgache Ahmad Ahmad, en revanche les élections pour des places au sein du Conseil de la FIFA et du comité exécutif de la CAF promettent une lutte plus acharnée.
Concernant le Conseil de la FIFA, après avoir réhabilité l’Algérien Kheïreddine Zetchi, le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a annoncé ce jeudi qu’il a rejeté l’appel déposé par le Congolais Constant Omari. Visé par une enquête de la commission d’éthique de la FIFA, l’actuel président par intérim de la CAF ne pourra donc pas se présenter, comme en avait décidé initialement la commission de contrôle de la FIFA.
Le TAS a en revanche déjugé la commission de gouvernance de la CAF concernant le président de la Fédération camerounaise Seidou Mbombo Njoya et le président de la Fédération guinéenne Mamadou Antonio Souaré qui sont autorisés à briguer une place au sein du comité exécutif de la CAF.