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Cheikh Bamba DIEYE invité du "GRAND ORAL" sur Rewmi tv : « Il faut miser sur la méritocratie, la certitude de la sanction et bannir le mensonge »
Cheikh Bamba DIEYE invité du "GRAND ORAL" sur Rewmi tv : « Il faut miser sur la méritocratie, la certitude de la sanction et bannir le mensonge »

Cheikh Bamba DIEYE invité du « GRAND ORAL » sur Rewmi tv : « Il faut miser sur la méritocratie, la certitude de la sanction et bannir le mensonge »

Le leader Fsd/Bj Cheikh Bamba Dieye candidat à la présidentielle est un adepte de cette joutes. Il mise sur un triptyque dans le cadre de son programme. Il s’agit de la méritocratie, la certitude de la sanction et bannir le mensonge. Il a dénoncé la corruption dans la collecte de parrains. Il était l’invité du Grand Oral sur Rewmi TV. 

 

Vous avez participé à plusieurs élections à des dialogues.  Comment évaluez vous le processus électoral ?

Vous l’avez fait remarquer et il existe des avantages comparatifs. J’ai été un acteur dans l’évolution  politique du pays de 1995 à maintenant  pour acter l’expérience politique. Je suis l’évolution politique et un acteur privilégié pour l’état de la démocratie et me poser des questions sur ce que nous avons été, les leçons à retenir des combats de 2000 et 2012 et actuellement. La démocratie est en recul sur des questions de  liberté,  d’équité, de comment faire pour que le citoyens interviennent dans le jeu démocratique  et les acteurs politiques soient égaux. L’état de droit vu de manière négative par des citoyens et vanter avec beaucoup d’exagérations et avec la situation économique et scandales du pays. On pouvait faire face aux crises que le pays a traversé. Avec les morts de 2000 à  2012, on ne connaît pas le nombre  de personnes décédées dans ce pays. Alors il fait savoir ce que les gens ont sacrifié et en termes de résultats et pour une qualité de vie meilleure et un état de droit élaboré. Le sacrifice et l’engagement du citoyen n’est pas souvent relayé et rétribué par l’acteur politique et nous en avons de piètres au Sénégal.

Justement vous prenez part à une élection avec le filtre du parrainage ?. comment vous l’avez vécu, cette collecte et des difficultés rencontrées ?

Il faut rappeler que cette loi votée à l’assemblée j’ai toujours témoigné du caractère antidémocratique et la nébuleuse de ce projet de loi. Je l’ai fustigé car c’est antidémocratique. J’avais dit qu’il faut un certain nombre  de candidats  pour dire que ce parrainage est inutile car actuellement on se retrouve miraculeusement avec plus de 200 candidats.  Vous vous rendez compte ! Les acteurs politiques doivent donc être théoriquement forts et performants. En réalité le parrainage est impossible à réaliser compte tenu que la majorité a près de  millions de parrains et d’autre part des chiffres pharaoniques.  Alors j’estime que si  la volonté de l’état de réguler le système politique et d’éviter les candidats fantaisistes, alors c’est raté. Ce sont les mêmes acteurs qui financent et font la promotion de candidats qui sortent et qui au-delà de deux mois on ne leur connaissait aucune activité politique. Ce qui montre la vulnérabilité du système ou on nous amène. C’est un tirage au sort dit-on mais pourquoi la loterie  alors que la loi est inique et mauvaise.

Alors je le vie sur le terrain rien que pour avoir des parrains et il y a  de la corruption et de commerce car il faut analyser dans quelle société nous sommes. Nous sommes dans une société où les gens sont fatigués, ont faim et trouver un emploi est un problème. Il ne faut pas perdre de vue cette société là car la vie est difficile aussi et avoir de l’argent est quasi  impossible. Alors moi qui ai dénoncé cette loi je peux comprendre l’état d’esprit des gens sans cautionner ce qui est fait sur le terrain. Les acteurs du parrainage sont les promoteurs de cette forme de corruption car étant dans les dispositions. Cette situation posée montre que nous avons un recul extraordinaire. De 92 à nos jours à chaque fois que nous allons à des élections nous n’avons jamais eu de stress car étant au conseil constitutionnel mais ce sont des gens neutres. Mais de nos jours le système est nébuleux mais il y a longtemps  le système était clair et sans une candidature fantaisiste. Les  sénégalais quand la chose est claire mais quand on met de la promotion et des astuces de filtrage pour mettre certains des de bonnes dispositions et d’autres dans des difficultés c’est regrettable. Le parrainage comme beaucoup de situation n’est pas un bon élément qui milite pour une démocratie.

Le logiciel présente-t-il des garanties ?

Vous savez quand dans la partie qui concerne le conseil constitutionnel rassurera,  on se rendra compte que le législateur a fait l’effort de mettre les candidats à égalité mais le déséquilibre est antérieur et il est dans le choix et le tirage. Dans le comment les partis  arrivent à ramasser des parrains sur le terrain. Il ne s’agit pas d’occulter ce qui est fait avant alors il ne faut pas se limiter à une partie verrouillée et d’avoir un logiciel qui est froid. Il faut savoir si le processus est crédible, équitable, sérieux et transparent. Mais depuis le début, ce sont des difficultés auxquelles  ont fait face et c’est injuste pour une démocratie. On a envie d’aider notre pays mais on fera l’effort dans un coin de l’œil de corriger tout cela.

Des candidats pouvaient se passer du parrainage citoyen. Il existe un dilatoire ?

Des gens se battent pour des parrains mais il y a pire. J’ai fait deux élections présidentielles et qu’on me demande des parrains. Quel est l’intérêt pour un parti qui a un parrainage un nombre de députés et de tympaniser les gens ? Car il existe cette volonté de torpiller le dispositif du parrainage. Celui qui le fait mais le fait à dessein. C’est juste jouer avec les gens mais c’est sournoise de faire raréfier cette denrée qu’est le parrain et on le vend aux plus offrants. J’estime que nous avons souffert durant les 63 dernières années et dans l’entre 2021-2023 pour nous épargner ces difficultés inutiles.

On va vers un éternel recommencement  du processus électoral ?

Malheureusement et quelque part cela pose problème. Je ne comprends pas l’acteur politique sénégalais. Je pense qu’on se trompe de priorité car l‘essentiel du débat c’est qu’ils  ont mis tant dans le parrainage, débat politique judiciaire, des situations  qui n’ont rien à voir avec l’essentiel et qui est à deux choses. La première c’est que nous avons millions 500 familles pauvres et qui ont du mal à vivre.  Et les gens sont plus âgés que 90% des sénégalais. Et la population est vulnérable. Dans un tel environnement, un acteur politique soucieux  du devoir se justifier de ce capharnaüm de débat et c’est centré sur eux mêmes.

Des indépendances à nos jours il faut faire de la sociologie car les  acteurs politiques sont dans la quête du pouvoir et la jouissance du pouvoir. Quand ils sont dans  cette phase de quête, il sont des discours adaptés aux exigences de populations avec un discours policé et quand ils ont eu ce qu’ils voulaient mais c’est à regretter d’avoir  fait une alternance. Alors que la jouissance du pouvoir est nocif car quand une personne est dans cette dynamique elle ne peut pas vivre en démocratie , ni de la réédition des comptes à la démocratie. Il faudrait comme les sénégalais ont eu à le faire, avec l’alternance en 2000, il faudrait que l’acteur politique se réveille sachant qu’il ne parle pas d’un autre pays mais du Sénégal avec des urgences et des priorités qui sont non négociables et apporter des solutions.

Pourquoi après deux alternances on est dans le désespoir et c’est quoi le problème et la solution ?

Mais il y a  la qualité de l’homme politique qui n’est pas phase d’une mutation réelle. Il faut recevoir la gouvernance autour de trois principes dont : «l’état  d’esprit qui va réunir les autres et il faut la méritocratie. Ce qui a plombé ce pays c’est la place qu’il faut à des hommes qu’il faut. Il faut transformer la responsabilité politique.  Il existe la certitude de la sanction pour ceux qui ont fauté aux yeux de la loi vis à vis de la loi. Nous le constatons car les gens  ont la certitude selon  le bord ou il se trouve qu’on peut échapper aux contraintes liées à la responsabilité qui n’est pas exercée. C’est cela qui crée  les frustrations et que les populations   donnent des réponses. Si une personne faute avec les deniers de la république et se réfugie chez mon marabout mais il ne faut pas un système  corporative. Il faut une certitude de la sanction et concourir à le faire. Il est important de le faire et réunir les khalifes généraux et l’église avec un compte rendu pour un état réel de la société et les exigences devant la président de la république.

Il faut assurer la méritocratie  dans ce pays et si une personne  détourne  il se réfugie quelque part, elle ne sera pas protégé. Il faut bannir le mensonge comme aux USA et que les sanctions soient là.  C’est à ce niveau qu’il fait pour sauver ce pays. Quand on ment en cachant la vérité c’est dire qu’on ne mérite pas sa place. Il devra être  dénie de sa fonction. Ce qui pose problème c’est qu’on ne sait pas. C’est comme la gestion sobre et vertueuse tant chantée mais est ce que le leadership se fait  violence dans ces actes ? Alors les gens l’ont constaté et tout part en fumée d’où la qualité du leadership et que les gens regardent la gouvernance. Il faut ces trois choses dont la méritocratie, la certitude de la sanction et bannir le mensonge. Du point de vue de la gouvernance et des priorités nous en avons.

Les détournements des deniers publics reviennent toujours sous les différents régimes dont celui de Wade et Macky. Mais il y a des dossiers qui sont classés sans suite.

Ce qu’il y a lieu de savoir si  on veut une rupture et de donner des raisons de vivre, nous n’avons pas le choix et il faut décider ensemble pour construire ce pays et le développement ou de jouer avec les conséquences. J’ai la certitude que les familles sénégalaises  sont  arrivées au bout du rouleau et ne peuvent plus supporter ce régime d’injustice. Pourquoi m’appesantir sur cela et un homme qu’il fait et il ne s’agit pas de compter le nombre de milliards en compte en banque. Mais il faut savoir s’il est bon et savoir  s’il est capable de mettre ce pays sur les rails. La justice et la reddition des comptes ne doivent pas recevoir d’ordres du président mais nous avons des institutions et donner des garanties et que la transparence devient une réalité .

Le président doit donner le tempo et que  les premiers jours  montre aussi cette volonté de protéger personne et veiller à ce que ces individus  soient irréprochables  et sanctionner ces derniers. Ce sera le  premier signal pour installer cette machine. Il y a des juges qui une fois mis dans de bonnes conditions feront de leur mieux pour protéger les citoyens et faire leur travail convenablement et ne pas s’immiscer dans les affaires judiciaires. Il faut réorganiser la justice mais aussi encadrer tout comme il se doit. Si les sénégalais remplissent leur mission et que tout le monde mette la main à la patte, il est possible d’éviter le vol et la corruption massive et les dossiers sur lesquels il existe des preuves probantes alors on se rendra compte comme les américains, il nous faut nous corriger et des espaces pour faire en sorte qu’on n’ait plus jamais à se payer la tête des gens et de ne plus voler l’argent public et de poursuivre les fautifs mais dans le respect des libertés des uns et des autres et sans la chasse aux sorcières car nous avons perdu beaucoup de temps en 2012 mais en vain. C’est la pire des choses car d’un coup tout le monde est devenu blanc come neige.

Alors il faut des réaménagements car la priorité c’est le présent du citoyen sénégalais. Sur les 1 million de ménages dans la pauvreté, je vais  puiser 50 milles  francs  sur deux ans et chaque année le ministre  de l‘économie qui a des exonérations à hauteur de 750 milliards. Alors il faut un plafond et une limite de cela et sur une plateforme disponible et faire la justification du ministre en question. Sur les 750 milliards on récupère les 400 milliards on peut faire de la gymnastique économique et aider les  gens. Le père de famille a besoin de retrouver cette autorité dans la famille et c’est la capacité à nourrir une famille,  alors quelque soit le résiduel il s’agira de sortir de la pauvreté aussi. La deuxième c’est la disponibilité du logement avec la croissance économique et créer  des emplois. Nous avons un déficit de 350 mille logements et 500 mille bientôt. J’ai les moyens de le faire et relancer l’économie du pays.

Le pays a atteint 7000 milliards de budget. D’aucuns en  doutent. Votre analyste ?

Je suis une autorité en la matière car j’ai  remarqué entre le budget et celui exécuté il ya un hiatus. Il y a certainement dans le budget une bonne partie qui est chimérique et sans exécution, la vérité c’est que je le souhaite à la performance et ajouter que pour les 12 dernières années si on fait un équilibre sur le budget consommé on peut avoisiner des milliers ou plus. Il y a des moyens de faire quelque chose et, de ce point de vue, je n’explique pas la croissance du pays projetée par des entreprises  extérieures et sans impact réel sur la qualité de vie des populations.

Sur 13 mille milliards de dette la pauvreté est là de même que le problème de l’autosuffisance alimentaire ?

Cela veut dire que je fais un constat que tout sénégalais peut faire. Nous avons des familles pauvres et je fais partie de ceux qui ont une population jeune. Toute activité de développement  devrait se pencher sur deux leviers et il faut aller à la rescousse des jeunes et des ménages démunies. C’est pourquoi d’abord octroyer des bourses pour au moins atténuer des familles et enlever un peu moins des difficultés des ménages. Il existe des problèmes car le gouvernement lui-même à des projections et des problèmes de traçabilité. Il faut des réformes numériques rien que sur les supports que nous avons dont le téléphone et dans les quartiers avoir un meilleur suivi.

Dans un quartier, quand on veut s’inscrire et quand le besoin n’est pas là, il faut des sanctions et des contrôles. Cela prouve de la transparence. Je propose 100 milles logements par an et la possibilité de confier 50 à une entreprise pour en créer 2000.  On peut avoir l’argent et faire redémarrer la menuiseries et l’ébénisterie. Il y a possibilité de faire cela. On peut mettre à la disposition des citoyens un habitat. Pour chaque bâtiment on prend en charge 60 mille logements, le coût de la location  vente sera nettement moyen et de même que la garantie. Car tout citoyen qui a un salaire aura la possibilité de le faire. Il fait de la sécurité car on ne peut pas construire cette question  car il faut un système de concurrence propre et sans prédation et rendre compte dans les localités aussi. Nous observons des crimes et une violence inouïe et des menaces sur les personnes physiques et la nouvelle tendance sur les réseaux sociaux.

Mais il faut un système de protection  dans les réseaux sociaux et avec des moyens de se défendre. Il faut un système judiciaire adéquat et des détails qui sont négligés. Que le citoyens sénégalais  puissent  avoir le sentiment d’être  protégés  et c’est important. Dans le système éducatif et de la santé aussi, il faut faire des choses. On parle de souveraineté dans bien des secteurs et de ce point de vue, autant sur les produits agricoles que les  ressources naturelles, il est impossible de faire que les ressources puissent être exportées sans transformation au préalable. Il faut de la valeur ajoutée comme en  Europe. Nous n’avons rien fait et nous avons les moyens de le faire et que l’État s’organise  pour cette transformation des produits locaux et créer les conditions car il y a des entreprises européennes qui battent de l’aile car la charge salariale est devenue un fardeau et elles suffoquent.  Pourquoi ne pas avoir un environnement adéquat et des moyens de faire fructifier le business. 

Avec la question liée à notre diplomatie et la sous région, les premiers ambassadeurs  seront envoyés en Mauritanie,  en Gambie, au Mali et en Côte d’ivoire. Les gens ont l’impression que les menaces viendront des territoires près de chez nous. Alors les meilleurs on les envoie à paris ou aux USA. Il faut bien connaître la géostratégie sous régionale. Je vais redéfinir les ambassades dans le pays. Il faut leur montrer que ce sont des partenaires de premier choix mais des partenaires économiques et le Sénégal a très mal joué  avec la Cedeao sur la crise au Mali, au Burkina et au Niger. Je suis de ceux qui pensent que les stratégies  économiques sont prioritaires. La véritable diplomatie c’est  la solidarité et c’est aussi de ne pas accabler X ou Y, alors il faut être unis.

La diaspora aussi reste une priorité. Alors quel bilan en tirer ?

C’est toujours bien de les impliquer et ils ont déjà vu le milliard de milliard. J’aurai aimé que cela soit beaucoup  plus organisé et que cela se passe sur des programmes travaillé et une volonté de leur épargne et de propulser  le développement économique. Il ne faut pas se limiter sur des biens économiques ou de consommation mais il faut  un système de retour dans leur pays avec des potentialités.  Il leur faut des Pme et Pme. On peut forcer le respect face aux  meilleures conditions  et avoir dans les grands pays des alliances sénégalaises. Il faut que nos ambassades soient des lieux de vente et la rentabilité  sénégalaise, pour l’art etc. Il faut un agenda culturel externe et interne et des artistes qui font le tour en Italie, en France et dans un dispositif culturel et préserver la particularité. Le débat est un monde d’option de vie et voir le menacés. Pourquoi ne pas être attractif et directement impliqué à l’extérieur et les jeunes qui excellent dans l’art  et la musique aussi. Il y a moyen de faire avancer ce pays et avec une extrême aisance que les gens retrouvent le sourire et que les gens arrêtent de penser à eux-mêmes et au servent des gens et de la cause nationale et la paix.

Le tribunal de Dakar a annulé la radiation de Sonko. Votre lecture ?

Si on était dans un pays comme il se doit je dirais que c’est une vitalité. Le système fonctionne ainsi. Ce que nous retenons de la justice, ce sont les démêlés des acteurs . Je ne manquerais pas de dire qu’il y a un dialogue pour que les  acteurs participent à cette élection. J’y ai pris part. Il faut aller dans le même sens et on aurait dû tout faire pour que Sonko participe.

La présidentielle n’est pas la propriété des acteurs politiques mais des citoyens. Pourquoi interférer dans la décision des gens. Il faut laisser les citoyens  faire leur choix. C’est la démocratie. On interfère dans les affaires judiciaires, cela influe sur l’instabilité du pays. Pour une élection  aussi importante il faut fouiller les programmes de tel ou de tel et faire la lumière des programmes et voir cette lecture et puis protéger les régies financières, les ressources. C’est un désastre ce qui se passe.

Les militaires ont perdu des soldats et en rapport  avec la situation en Casamance. Est-ce qu’il faut  asseoir un dialogue ?

Deux choses doivent aller de paire pour les gens. Le dialogue ne doit jamais être  rompu . L’État a la responsabilité d’assurer la paix sur le territoire et des missions non négociables et que chacun doit vivre dans la paix. Je voudrais m’incliner devant ses quatre soldats  et souhaiter un prompt rétablissement aux blessés. Ces personnes qui perdent c’est nous-mêmes. Il faut retrouver cette paix en Casamance et nous. Quand on empêche notre école de fonctionner , l’économie d’être prospère dans une partie du pays, on fait du tort à nous-mêmes. Les gens vivent juste pour être considérés et que les ressources soient distribuées et avec un programme de développement adéquat.

Pas un programme politique mais qui prend en compte  les besoins des populations et un programme pour faire revivre la Casamance au niveau de la transformation pour un grenier économique. En 2017 j’avais un programme dont 100 milliards chaque année pour la Casamance pour rééquilibrer les déficits d’un point  de vue Senghorien et de cette guerre qui est inutile. Dans un pays chacun veut trouver un foyer et avec ses enfants. Il faut un être engagé et régler ce conflit définitivement.

MOMAR CISSE


 

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