Le Synpics – Syndicat Professionnels Information Communication Sénégalais appris avec ahurissement l’agression du journaliste Moussa Fall, chef de bureau du média Dakaractu (privé), ce mardi à Kaolack, lors de la session extraordinaire du vote du budget de la mairie.
Moussa Fall qui a accédé à la salle de la mairie de Kaolack après avoir exhibé sa carte de presse et sa carte d’identité, a par la suite été prié de quitter les lieux par trois gros bras qui, face à son refus (les délibérations des conseils municipaux sont publiques) l’ont violenté et jeté dehors lui occasionnant des blessures.
Le Synpics – Syndicat Professionnels Information Communication Sénégal encourage la Direction de Dakaractu a porté plainte auprès du procureur de Kaolack et demande au journaliste d’en faire de même à titre personnel. Suivant les résultats de l’enquête et s’il s’avère que la responsabilité de l’institution municipale est engagée, des suites judiciaires visant le maire de Kaolack seront entamées.
Le Synpics encourage les journalistes basés à Kaolack à persister dans leur décision de boycott, un acte de solidarité immédiatement pris par les confrères présents sur place après avoir été témoin de l’agression.
Le Synpics a appris avec ahurissement l’agression du journaliste Moussa Fall, chef de bureau du média Dakaractu (privé), ce mardi à Kaolack, lors de la session extraordinaire du vote du budget de la mairie. Moussa Fall qui a accédé à la salle de la mairie de Kaolack après avoir exhibé sa carte de presse et sa carte d’identité, a par la suite été prié de quitter les lieux par trois gros bras qui, face à son refus (les délibérations des conseils municipaux sont publiques) l’ont violenté et jeté dehors.
Le SYNPICS encourage la Direction de Dakaractu a porté plainte auprès du procureur de Kaolack et demande au journaliste d’en faire de même à titre personnel. Suivant les résultats de l’enquête et s’il s’avère que la responsabilité de l’institution municipale est engagée, des suites judiciaires visant le maire de Kaolack seront entamées. Le Synpics encourage les journalistes basés à Kaolack à persister dans leur décision de boycott, un acte de solidarité immédiatement pris par les confrères présents sur place.