Faut reconnaître que le label Ndour paye dans ce pays. Après la star mondiale (et non planétaire comme disent certains journalistes qui n’ont qu’une culture limitée, sinon maraîchère),

Il y a sa sœur cadette Aby, également chanteuse, et Maimouna Ndour la plus  » nanditée » des journalistes sénégalais de sexe féminin. Mais malgré un talent aussi étriqué qu’un bâton de maréchal.

Aby se débrouille très bien depuis sa tendre enfance. Dans tout ce qu’elle entreprend. Elle a commencé à faire la politique au berceau et certainement, ne finira avec, que six pieds sous terre. Elle sent toujours ou d’où vient le vent du…fric, et possède l’art de le cueillir. Pour les présidentielles par exemple, elle ne change jamais de cheval, contrairement à d’autres politiciens qui s’apostasient dès qu’ils entrevoient le bout d’un million.

Gagnante ou perdante, Aby roule chaque fois pour le PS ou un parti « frère et allié », qu’importe les résultats. Si les socialistes le remportent, c’est tout bénef. Dans le cas contraire, il y a toujours possibilité de glaner ces sortes de cartes de fidélité qu’on peut hypothéquer à toutes fins utiles, ou faire miroiter auprès des grandes écuries adverses.

N’est-ce pas plus intelligent qu’une vulgaire et incertaine transhumance à la portée de tous les militants ordinaires ?

Sébé