La Covid et la fragilité du monde occidental

Encore une fois, même si les medias dans leur grande majorité ne l’ont pas suffisamment dit, la pandémie de la Covid-19 a démontré à la face du monde la fragilité du monde occidental.

Ce même occident a été débordé, son rêve messianique de supériorité raciale est de régenter le monde par ses seules valeurs surestimées et légitimées sur l’autel de la négation des autres.

Ce rêve-là, a tremblé, vacillé ; l’occident a été humilié, son nombrilisme a fait faillite et pour se justifier il faut qu’il accuse l’autre. C’est dire que la roue de l’histoire est en train de tourner.

Et, c’est à nous africains de savoir tirer profit des leçons de cette pandémie et savoir que nous ne sommes pas, nous n’avons jamais été le berceau naturel privilégié du drame, si ce n’est de façon orientée, voulue par les occidentaux eux-mêmes et assumer par certains dirigeants africains.

L’occident n’est plus le centre du monde, ou si quand même par les chiffres macabres qu’il a égrenés, la vérité n’est pas blanche et ne l’a jamais été, tout comme nous les noirs africains n’avons jamais été maudits.

Cette césure manichéenne troublante, pernicieuse et maudite, chantée sur toutes les gammes entre le discursif de la pensée blanche et l’intuitif négre en son temps et reprise en cœurs par tous les gardes-chirmes de la civilisation occidentale n’a pas résisté aux faits qui sont rebelles et objectifs.

Il faut éviter, refuser de rester les « doungourous » de l’occident. Nous avons de la consistance culturel, un passé plusieurs fois millénaire, à étudier, à repenser, à rénover.

Nous avons une jeunesse réceptive à la science, au progrès, pour peu qu’on l’oriente judicieusement.

Soyons donc humbles et déterminés.  L’avenir nous attend. entrons y convaincus et sereins !