La nouvelle directrice de la DER/FJ, Aïda Mbodj, est déterminée à recouvrer les créances auprès des bénéficiaires de financement. « Les créanciers vont payer. Tous ceux qui ont eu à bénéficier d’un financement vont payer. Ils vont tous payer sans exception ! Il n’y aura aucune dérogation. Les gens ne peuvent pas bénéficier de financement et refusent de payer le moment venu. (…) .
Ayant pris fonction officiellement, ce mardi 4 juin 2024, la nouvelle directrice de la DER/FJ, Mme Aïda Mbodj promet de travailler avec tout le monde. Elle appelle également ses collaborateurs à se préparer à être sur le terrain. « Nous n’allons écarter personne, nous serons là pour tout le monde. Nous ne cautionnons pas l’injustice ! J’ai juré de n’écarter personne. Je n’en ai même pas le droit parce que le besoin est que les autorités nous accompagnent à les accompagner. Ils vont nous aider à aller vers la cible. Nous allons avec les bénéficiaires développer des terroirs. »
En portant Bassirou Diomaye Faye à la tête du pays, nous avons approuvé la reddition des comptes et banni le gaspillage! Nous avons traversé des moments difficiles et nous devons remettre le pays sur les rails », a indiqué, la nouvelle directrice de la DER, lors de sa passation de service avec Mme Aby Sèye.
De l’avis de Mme Aïda Mbodj, « le président de la République et le Premier ministre ont choisi une mère, une femme pour une famille qui est la délégation de l’entreprenariat rapide pour les femmes et les jeunes (Der/FJ). Nos autorités se soucient de l’autonomisation économique et de l’inclusion sociale au profit de ces cibles majeures, par le biais de mécanismes financiers et non financiers rapides et accessibles. Ils ont conjugué la Der au féminin pour lui donner une nouvelle ère pour mieux prendre en charge les besoins des femmes et des jeunes.
La DER/FJ est appelée à jouer un rôle déterminant dans la mise en œuvre du PROJET, visant à répondre aux problématiques de l’autonomisation des femmes, de l’employabilité, de l’emploi des jeunes et de notre souveraineté économique », a souligné l’ancienne ministre de la Femme.