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Pour rehausser le niveau des élèves: Le G20 plaide pour l’introduction des langues nationales dans le système éducation
Pour rehausser le niveau des élèves: Le G20 plaide pour l’introduction des langues nationales dans le système éducation

Pour rehausser le niveau des élèves: Le G20 plaide pour l’introduction des langues nationales dans le système éducation

Avec l’ouverture des classes,  des syndicats d’enseignants affutent leurs armes et invite l’état à plus d’ouverture pour une année apaisée. Dès lors, le faible niveau des élèves est inquiétant selon le G20.  Avec  les inscriptions, l’Unapes tire la sonnette d’alarme.

Après l’ouverture des classes, le G20 affute ses armes et interpelle le gouvernement quant ’aux respects des accords signés. Face à la presse, les membres pont saisi l’occasion pour attirer l’attention des autorités en charge de l’éducation de mettre l’accent sur les langues nationales au profit des apprenants. Pour Hamidou Ba, coordonnateur du G20,  le niveau des élèves reste problématique. La seule alternative pour y remédier c’est de « réformer les programmes hérités du colon. » « Cette école coloniale nous met en retard et on ne peut pas continuer. Il faut revaloriser nos langues nationales en les introduisant dans le système éducatif. Nos enfants ne comprennent rien du français et il faut changer d’approche. Un enfant de l’élémentaire, pour résoudre un problème peine à comprendre le problème », dit-il. A l’en croire, seule une révision de nos programme pourra sauver l’école sénégalaise de cette situation.

La question de la formation du personnel enseignant est remise sur la table.  Pour Hamidou Ba du G20, cette question est importante au point que les autorités devraient y mettre autant de moyens et  former le personnel enseignant. « Ils auront le diplôme requis premièrement et les difficultés seront dissipées. Mais il ne faut pas politiquer l’enseignement car c’est l’état qui recrute et le mal est très profond. Il faut dépasser cette question », souligne Hamidou Ba.

En outre, le déficit d’enseignant reste une question récurrente. C’est en tout cas l’un des points de revendication pour les potaches qui avaient déclenché une grève illimité l’an dernier. Une polémique entre la Cosydep et la tutelle avait soulevé l’ire des acteurs de l’école. Ces derniers pensent que l’autorité doit mettre de la volonté politique et de a ressource pour éviter d’avoir des niveaux très bas. « Je suis de Podor mais je sais que le problème de St Louis dépasse les collectivités locales.

Des zones très basses, et inondables facilement. Il faut que les eaux stagnantes ne puissent plus demeurer. L’état a les moyens de pomper les zones et que les enfants puissent être dans les mêmes conditions que les autres », tonne le syndicaliste. Il dénonce que  des potaches pataugent pour accéder dans les écoles. En ce qui concerne le règlement des problèmes, en tant  que défenseur du système,  le G20 a demandé aux enseignants d’être prêts. « Nous pensons que les problèmes qui restent à être réglés aussi doivent être faits.


 

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