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Affaire Sweet Beauty:  Le tribunal renvoie le délibéré au 14 Février 
affaire "SWEET BEAUTY": affaire Adji Sarr-Sonko

Risque d’une condamnation dans l’affaire « SWEET BEAUTY »: « Seul Dieu peut empêcher ma candidature en 2024 » dixit Ousmane Sonko

Son procès acté, Ousmane Sonko chef de file de Pastef semble se faire une religion sur les motivations du président Macky Sall qu’il accuse de chercher les voies et moyens de sa condamnation, dans l’optique de d’empêcher la validation de sa candidature pour la présidentielle 2024. A en croire le maire de Ziguinchor accusé de « viols » par l’ex masseuse Adji Sarr, « à part Dieu, personne ne peut m’empêcher d’être candidat à la prochaine présidentielle ».

 

A l’attention de cette opinion qui craint une condamnation du leader de Pastef à l’issue du procès de l’affaire Sweet Beauty, Ousmane Sonko s’est voulu clair : « S’il plaît à Dieu et si mon parti le veut, je suis candidat à l’élection présidentielle de 2024. Personne n’est mieux placé que nous pour gagner ». C’était lors des 48 heures de la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), ce dimanche 15 janvier à Mbao.

Selon les révélations de l’opposant, « Macky Sall et la France redoutent son avènement que, tous les jours, leurs laboratoires tournent à plein régime en fabriquant énormément de complots ».

Car dit-il, « l’objectif de Macky Sall est de trouver un motif de condamnation pour empêcher ma participation à la course vers la prochaine présidentielle ».

En déclarant sa candidature pour 2024, le leader de Pastef avait déjà pris une avance sur certains de ses camarades de l’opposition dont Khalifa Sall de Takhawu Sénégal et Karim Wade du PDS. Des présidentiables dont l’éligibilité en 2024, dépendrait d’une amnistie brandie par le chef de l’Etat Macky Sall.

A rappeler que ces derniers étaient également présentés avant l’échéance électorale de 2019 comme de sérieux prétendants au fauteuil présidentiel, capables de briser le rêve d’un second mandat pour le candidat de Benno Bokk Yakaar. Au finish, ils ont été écartés de la course à cause de « manœuvres politico-judiciaires » prêtées au pouvoir à tort ou à raison, et qui avaient abouti à leur emprisonnement. Aujourd’hui, l’histoire semble se répéter avec la montée en puissance d’Ousmane Sonko, mais échappera-t-il à la guillotine ?

En tout état de cause, ses partisans et alliés de la coalition Yewwi Askan Wi qui plaident la thèse d’un complot sont sur le pied de guerre en attendant la décision du juge dans cette affaire qui tient le Sénégal en haleine depuis deux (2) ans.

Mamadou SALL

 


 

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