Top Infos Rewmi du 25 04 2023: Le groupe des 23 interpellés du village de NGOR en retour de parquet, après toute la journée passée à la cave du Palais de Justice….En Guinée, la junte au pouvoir, dirigée par le colonel Mamady Doumbouya, a décidé de radier de l’armée nationale, le colonel Mamadou….Le Gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall, prononce la fermeture d’un tronçon de l’Autoroute de l’avenir….
Autoroute à péage
Le Gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall, prononce la fermeture d’un tronçon de l’Autoroute de l’avenir. « Pour des raisons liées aux travaux de réalisation des ouvrages relatifs à l’inter-connectivité urbaine de Diamniadio à l’Autoroute de l’Avenir, le tronçon Sébikotane-Diamniadio, sera fermé à la circulation automobile pendant les jours et heures indiqués », lit-on dans le document reçu. Selon les dispositions prises, souligne le document, les usagers en provenance de Dakar, à hauteur du Cicad (sortie 1), pourront reprendre l’autoroute à partir de Sébikotane Sud (entrée 12), du 24 avril au 4 juin 2023.
Woula Ndiaye commente le départ d’Idy
Les frondeurs du Conseil économique social et environnemental (Cese) qui réclamaient le départ d’Idrissa Seck ont finalement eu gain de cause. Ces conseillers souhaitent que le nouveau président de l’institution soit un homme proche de la base et surtout de l’APR. « Nous sommes très satisfaits de l’action du Président par rapport aux mesures qu’il a prises. De sa propre volonté, il a analysé la situation et l’analyse a donné le résultat qui est la démission. Démission ou destitution ça importe peu pour nous, l’essentiel notre objectif était le départ de Idrissa Seck à la tête de cette institution » argument les conseillers. Ils ont déploré les nombreuses absences d’Idrissa Seck, ses négligences entre autres. Ils ont émis le souhait que le président de la République mette à la tête du CESE une personne particulièrement impliquée dans la politique et surtout issue de la mouvance présidentielle notamment de l’APR », a commenté le conseiller Woula Ndiaye qui s’exprimait, sur les ondes de la Rfm.
Retour de parquet
Le groupe des 23 interpellés du village de NGOR en retour de parquet, après toute la journée passée à la cave du Palais de Justice. Ils sont poursuivis des chefs d’actes de nature à compromettre la sécurité publique, actions diverses, rassemblement causant des dommages aux personnes et aux biens, troubles à l’ordre public, coups et blessures volontaires, destruction de biens appartenant à autrui et association de malfaiteurs.
Plus de 423 morts et 388 ressortissants évacués au Soudan
Théâtre d’un conflit armé entre généraux depuis neuf jours, le Soudan est confronté à une situation catastrophique. La guerre entre l’armée régulière dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires des Forces de soutien rapide du commandant Mohamed Hamdan Dogolo dit Hemedti, est entrée dans sa deuxième semaine. Les FAS assurent avoir le contrôle de tous les sites stratégiques du pays, mais les paramilitaires du général Hemetti semblent bien implantés au Darfour et dans la capitale. Dans ce conflit, les combats ont déjà fait plus 413 morts et 3.551 blessés, selon l’Organisation mondiale de la Santé. Un nombre en deçà des chiffres avancés par les autorités soudanaises qui parlent de 600 morts selon le ministre soudanais de la Santé. Selon la presse internationale, l’hôpital Sud à El Fasher est l’un des seuls à être encore ouverts dans le nord du Darfour. Depuis que les affrontements armés ont éclaté depuis le 15 avril dernier dans la région et dans le reste du pays, Médecins sans frontières a pris en charge 279 patients blessés dont 44 décédés. La trêve acceptée vendredi par l’armée, n’a finalement pas tenu et plus de 500 personnalités et ONG soudanaises viennent de signer un appel aux deux parties pour un cessez-le-feu immédiat. Sur Twitter, ke hashtag #soudan renvoie à des informations sur les opérations d’évacuation qui se poursuivent. 388 personnes ont été évacuées avec la 2e et 3e rotation la nuit dernière. La plupart sont des ressortissants français, espagnols, allemands, suédois mais également de nombreuses autres nationalités.
La junte radie un colonel et 26 autres militaires
En Guinée, la junte au pouvoir, dirigée par le colonel Mamady Doumbouya, a décidé de radier de l’armée nationale, le colonel Mamadou Alpha Barry et 26 autres militaires. M. Barry avait été condamné, en 2020, à cinq ans de prison pour vol aggravé. Sa peine a cependant été réduite à quatre ans de réclusion par la cour d’appel. Selon les sites d’informations Visionguinee et Mosaiqueguinee, l’homme était l’ancien porte-parole de la gendarmerie nationale. L’arrêté de radiation a été signé le mois dernier par le ministre de la Défense Aboubacar Sidiki Camara. Le document indique que cette sanction a été prise après les verdicts des juridictions militaires à l’encontre des intéressés et en application de l’article 37 du Statut général des militaires. Me Salifou Béavogui, l’avocat de M. Barry, a déjà promis d’attaquer l’arrêté de radiation devant la Chambre administrative de la Cour suprême.
La junte radie un colonel et 26 autres militaires (Bis)
Pour lui, la condamnation de son client n’est pas définitive. «Aujourd’hui, il ne reste que quelques mois pour obtenir sa libération, d’un côté. De l’autre côté, la Cour suprême ne s’est pas encore prononcée définitivement sur le pourvoi en cassation. Certes, le sursis a été rejeté, mais le pourvoi n’a pas encore été tranché», a-t-il déclaré. L’homme de droit exige l’annulation de cet arrêté de radiation. Notons que les 26 autres militaires écartés des effectifs de l’armée guinéenne relevaient, entre autres, du Centre d’infanterie de Gaoual, du Centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix (CEOMP), du Bataillon spécial des commandos en attente (BSCA), du Bataillon autonome des troupes aéroportées (BATA), du Bataillon quartier général (BQC) et du Haut commandement de la gendarmerie nationale. On n’a pas plus de précisions sur ce qui leur est reproché.
73 membres présumés d’une secte retrouvés morts
Le bilan de l’affaire des membres présumés d’une secte qui pratiquaient le jeûne extrême à des fins religieuses dans une forêt de l’est du Kenya est passé à 73 morts, ont annoncé lundi des sources policières, contre 58 auparavant. « Nous avons retrouvé 73 corps dans la forêt jusqu’à ce soir » et les recherches de nouveaux corps « se poursuivront demain », a indiqué à l’AFP un policier impliqué dans l’enquête. Le chiffre de 73 morts a été confirmé par un autre responsable policier.