Top Infos Rewmi du 24 01 2023: C’est au cours des travaux communautaires de débroussaillement de sites dans le Santhiaba Manjack, qu’un jeune homme a été enlevé…Surveillante dans une école privée de la place, Mme Kane a été victime d’une agression au moment où elle se rendait à son lieu de travail, vers 5 h….Deux individus qui tentaient de transporter illicitement du bois à Kamtipu, village situé entre Kandiadiou et Kanilaye, ont été blessés…..
Une surveillante agressée par deux bandits
Surveillante dans une école privée de la place, Mme Kane a été victime d’une agression au moment où elle se rendait à son lieu de travail, vers 5 h. En compagnie de son enfant, elle a été interceptée par deux agresseurs. Ces derniers ont tenu en respect la dame sous la menace d’une arme. Il faut dire que les deux bandits ont volé son sac à main contenant ses deux téléphones portables, sa carte Wave et d’autres objets. Mais cette agression ne sera pas impunie. A la suite de la plainte déposée et la description faite par la victime de ses agresseurs, les limiers du commissariat de Yeumbeul-Comico ont mené d’intenses investigations qui ont permis de mettre la main sur les deux présumés bandits. L’indélicat ouvrier M. M. (18 ans) et son compère E. N. (20 ans) ont tenté de nier les faits sans convaincre les enquêteurs de la police de Comico. Malgré tout, le duo arrêté par les éléments du commissaire Diallo a été présenté au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye, pour vol commis la nuit avec violence.
Encore des chauffeurs arrêtés par la police
Encore des chauffeurs grévistes arrêtés. En effet, conformément aux instructions de l’Etat, la police nationale est intraitable avec les chauffeurs qui tentent d’entraver la liberté de travail de leurs collègues non-grévistes. C’est ainsi que quinze fauteurs de troubles ont été arrêtés par les limiers, ce lundi. Selon notre source, les éléments du commissariat de Jaxaay ont mis hors d’état de nuire 7 individus. Et leurs collègues du commissariat spécial de Touba ont mis aux arrêts 2 autres pour les mêmes faits. D’après la même source, les policiers du commissariat central de Mbour ont interpellé, eux aussi, 6 fauteurs de troubles. Tout ce beau monde tentait d’empêcher les chauffeurs non-grévistes de circuler. A noter que les chauffeurs ont durci le ton pour dénoncer certaines mesures prises par le gouvernement.
Casamance, un jeune homme enlevé par des éléments armés
C’est au cours des travaux communautaires de débroussaillement de sites dans le Santhiaba Manjack, qu’un jeune homme a été enlevé, selon des infos reçues. Ce dernier et ses compagnons prenaient part à l’aménagement des parcelles de la localité devant servir à loger les populations de retour dans cette zone fortement marquée le conflit. Les hommes armés qui ont capturé le jeune homme seraient des dissidents de la faction de César Atoute Badiatte. Ces derniers auraient ouvert le feu sur ces jeunes en travaux selon des infos à notre disposition. Ayant réussi à disperser le groupe, ces hommes armés ont kidnappé le jeune homme. L’armée selon les mêmes sources a quadrillé la zone depuis hier pour espérer mettre la main sur ces éléments armés auteurs de cet enlèvement à Santhiaba Manjack. La population n’a toujours pas de nouvelles, depuis hier.
Le trafic de bois en Casamance fait des blessés
Deux individus qui tentaient de transporter illicitement du bois à Kamtipu, village situé entre Kandiadiou et Kanilaye, ont été blessés et leur véhicule caillassé, avant-hier dimanche. Selon Radio Sénégal, le chauffeur du camion de ramassage du bois et sont apprentis ont subi l’assaut des populations érigées en police forestière dans le cadre de la lutte contre le trafic illicite de bois. Ces individus issus de la Gambie, renseignent nos confrères, ont tenté avec l’obscurité de tromper la vigilance des populations pour transporter frauduleusement des troncs d’arbres coupés au niveau du territoire sénégalais. Malheureusement, ces trafiquants vont être repérés et appréhendés par les habitants du village de Kamtipu établis entre les deux pays voisins. Les trafiquants s’en sortent avec des blessures. Cependant, leur véhicule a été complètement endommagé.
La France indésirable au Burkina Faso
Le porte-parole du gouvernement du Burkina Faso a confirmé, hier lundi 23 janvier 2023, que les autorités burkinabè ont demandé le départ des troupes françaises basées dans le pays, dans un délai d’un mois. « Les forces françaises sont basées à Ouagadougou sur la demande du Burkina Faso et de ses autorités, a déclaré Jean-Emmanuel Ouédraogo, dans une interview sur la Radio-Télévision du Burkina (RTB), reprise par Rfi. Cette dénonciation est dans l’ordre normal des choses, elle est prévue dans les termes de l’accord militaire », poursuit-il. Avant de préciser : « ce que nous dénonçons, c’est l’accord qui permet aux forces françaises d’être présentes au Burkina Faso. Il ne s’agit pas de la fin des relations diplomatiques entre le Burkina Faso et la France ». Dans tous les cas, c’est depuis Paris, lors d’une conférence de presse organisée à l’occasion du 60e anniversaire du traité de réconciliation entre la France et l’Allemagne, que le président Emmanuel Macron a réagi aux annonces de l’Agence d’information burkinabè. « J’attends que le président de transition Ibrahim Traoré puisse s’exprimer », réagissait-il.