Un maître coranique a été arrêtée et placé en garde à vue au commissariat de Jaxaay. En effet, selon des informations, le mis en cause âgé de 35 ans est accusé de couché avec des jeunes filles et les obligeaient ses victimes à se soumettre à la contraception pour ne pas tomber enceinte. Il sera déféré pour pédophilie, viol et corruption de mineures.
Un Oustaz ( maître coranique), gérant d’un internat d’apprentissage de la langue arabe, est accusé de viols répétés sur neuf adolescentes pensionnaires de l’internat, a été arrêtée et placé en garde à vue au commissariat de Jaxaay. Nommé B. Bayo, le mis en cause âgé de 35 ans obligeait ses victimes à se soumettre à la contraception pour ne pas tomber enceinte.
Les filles étaient soumis à des viols répétés sous la menace de représailles, aucune d’elles n’avait osé dénoncé Oustaz Bayo, raconte L’OBS. Le maître coranique a cherché à s’entourer de toutes les garanties afin qu’aucune de ses élèves mineures qu’il ne cesse de violer, ne tombe enceinte. Il a ainsi des méthodes contraceptives comme le planning familial. La même source informe que ce dernier envoyait les filles au centre médical « Dound Gui » pour la séance d’avortement. Mais la fréquentation assidue des ados au centre « Dound Gui » a éveillé les soupçons auprès du personnel de santé. Ainsi le mardi 19 décembre, alors que deux ados pensionnaires de l’internat étaient présentes au centre médical, un personnel de santé alerte la police de Jaxaay.
Toutes les filles sont âgées entre 12 et 14 ans. Auditionnées par les limiers, les deux filles déballent et mouillent le maitre coranique qui sera arrêté. Il a violé neuf filles. Il guettait la nuit pour éloigner son épouse avant de faire venir une fille dans sa chambre.
Puis, sous le prétexte de la soigner par des bains mystiques, il obligeait sa victime à se déshabiller. Ensuite, il lui asperge de l’eau bénite avant de passer à l’acte (sexuel).
Les résultats gynécologiques ont révélé que toutes les violées ont été infectées.. Il sera déféré au parquet aujourd’hui vendredi pour pédophilie, viol et corruption de mineures.