L’ancien président Donald Trump, qui est accusé d’avoir gonflé ses actifs immobiliers durant des années, s’en est pris à un « simulacre » de justice, en attaquant une procureure selon lui « raciste » et « corrompue » et un magistrat « voyou ». A l’intérieur de la salle d’audience, le milliardaire de 77 ans a passé sa première journée assis, le visage fermé, ne s’exprimant qu’auprès de ses avocats.
C’est le premier procès d’une longue série pour Donald Trump. L’ex-président américain, candidat à un retour à la Maison Blanche en 2024, est poursuivi ce lundi 2 octobre avec des proches dont ses deux premiers fils, Don et Eric – au civil dans l’État de New York. Il est accusé d’avoir gonflé ses actifs de son conglomérat, la Trump Organization, de plusieurs milliards de dollars pour obtenir des prêts plus avantageux des banques.
L’un d’eux, Chris Kise, a défendu un « président (qui) a bâti l’un des empires immobiliers les plus prospères de la planète ». Denis Mukwege brigue la présidence de la République démocratique du Congo.
Le docteur, prix Nobel de la paix en 2018 pour son action en faveur des femmes violées, a annoncé à Kinshasa sa candidature dans une allocution. Il rejoint une liste déjà longue d’opposants au chef de l’Etat sortant, Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis janvier 2019 et candidat à sa réélection. Ils comptent l’affronter le 20 décembre prochain. Satya Nadella patron de Microsoft « Vous pouvez dire que Google est populaire, mais pour moi, il est surtout dominant. »
Depuis le 12 septembre, Google fait l’objet d’un procès pour abus de position dominante. Son moteur de recherche rend très difficile l’émergence de rivaux, a pointé Satya Nadella, auditionné aujourd’hui à Washington. Le patron de Microsoft a également insisté sur le fait que la domination de Google repose, selon lui, sur sa puissante collecte de données.