El Hadj Amadou Samb candidat déclaré à la mairie de la Ville de Rufisque a été porté dimanche dernier, à la tête de l’Alliance Nationale pour un Développement Durable (ANDD-R)
El Hadj Amadou Samb est candidat à la mairie de la Ville de Rufisque. L’actuel Directeur de la Coopération et du Partenariat à la CDC Sénégal qui compte sur la jeunesse pour développer la vieille cité, a été porté dimanche dernier, à la tête de l’Alliance Nationale pour un Développement Durable (ANDD-R). Il a décliné les grandes de son projet de programmes. « Ladite plateforme vise la transformation de nos localités partant de nos valeurs, puis dans l’esprit de tout un chacun ensuite par le travail », a-t-il déclaré en marge de l’assemblée générale tenue dimanche dernier à Rufisque. « Depuis des années, l’on se demandait si les Rufisquois allaient rompre avec certaines pratiques, valoriser davantage notre patrimoine culturel immatériel et en faire une force pour embrasser l’avenir, se donner collectivement un nouvel élan fort, réaffirmer notre foi dans les valeurs qui ont fait de Rufisco-viejo (ou Teuguedj), une grande ville historique citée dans des archives depuis 1588. Vous venez de le faire et aussi de confirmer un choix porté sur ma modeste personne », se réjouit-il.
Depuis longtemps, Rufisque connaît des difficultés qui ont semé le doute dans bien des esprits. Elle se sent menacée dans son économie, dans sa culture, dans son modèle social et dans sa gouvernance. Il s’est engagé à travailler d’arrache-pied, en toutes saisons et tous ensemble pour faire de Rufisque, une ville de l’innovation, des investissements responsables, de l’inclusion et de l’équité. « Faire de Rufisque, une ville verte et viable ; faire à terme de Rufisque, pourquoi pas, une ville globale rayonnante », se demande-t-il.
« Le mandat que les membres de l’ANDD-R m’ont donné sera guidé par les exigences y afférentes », promet-il.
« La première est de construire une ville de Rufisque meilleure dans l’esprit des Rufisquois d’abord, puis par le travail et le patrimoine culturel », ajoute-t-il.
Avant de poursuivre : « il est de notre devoir, tous ensembles de convaincre toutes les parties prenantes que Rufisque sera meilleure par l’exploitation des potentialités, un projet politique qui se veut collectif. »
« Je donnerai le meilleur de moi-même pour convaincre qui de droit que Rufisque n’est pas déclinante, mais que les enjeux, crises successives et actuelles constituent des opportunités extraordinaires pour transformer nos localités», conclut-il.