On recommence à parler d’elle avec la complicité de Karina Tavarez, celle-là même qui a frayé avec tout ce que le pays compte de « pantalons fortunés ». Mais la célèbre jet setteuse Thiessoise qui a traîné à succès, et déboires après déboires depuis les premiers jours de l’Alternance signée Wade, devrait tout de même savoir que la pause de la recréé n’est pas faite pour les machines.
Mais bon ! Si elle juge que l’heure de la retraite n’a pas encore sonné pour aller se refaire une seconde jeunesse (lifting, chirurgie de la poitrine, du train, de l’arrière-train, des jambes, des « mamelles »…bref de toute l’artillerie lourde), c’est son droit le plus absolu.
Qu’elle sache simplement qu’il est impossible de faire du neuf avec du vieux, et qu’arborer ostentatoirement des signes extérieurs de charmes éprouvés par l’âge, malgré les nombreux passages et repassages au billard, n’est pas forcément synonyme de come-back réussi.
Il faut beaucoup plus que les offres de l’étalage, la beauté fanée et retapée.