Avec le temps, on apprend bien de choses. Les unes, plus inattendues que les autres. Je ne savais pas, par exemple, que Fatoumata Ndiaye de Fouta Tampi était familièrement appelée Fat’Ndiaye » par certains de ses amis ou…proches, avec qui elle aurait fait les 400 coups ensemble…
Mais bon…puisque c’est pas ça le sujet…On y reviendra peut être la prochaine fois. En attendant, sachez simplement que la dame qui doit voir les choses a peu près de la même façon que Djibril Ngom (l’homme doubleur du mois) a changé depuis quelque temps, depuis son retour au « pays natal », comme aurait dit Césaire.
Maintenant, ce serait la Dolce Vita. Des robes chères, de belles parures, des bagnoles luxueuse, la grande vie, quoi !Et comme si cela ne suffisait pas, elle compterait désormais livrer d’autres batailles. Avec tiens, tiens, le concours de Me El hadj Diouf qu’elle aurait commis comme avocat.
Entre autres combats, Fat Ndiaye entendrait récupérer le nom de « Fouta Tampi » qu’elle revendique comme une propriété personnelle, barrer la route a tous ceux qui se dressent sur son chemin, et faire tout pour montrer aux Sénégalais que maintenant Fouta est devenue « welli « . Grace aux « Pouvoirs publics » qu’elle aurait sensibilisés, mais Grace aussi à son investissement personnel.
La seule bêtise qu’elle aurait commise dans tout ce scenario? L’entretien en amont qu’elle aurait accordé à l’activiste Ousmane Tounkara de New York, lequel viendrait d’être diffuse pour montrer à quel point, qu’essayer de la rendre de nouveau crédible aux yeux de ses compatriotes, s’avèrerait tout aussi difficile que terrasser Modou Lo, sans entrainement. Tant pis ! Fatoumata Ndiaye l’endurcie, ferait avec.