Dans son rapport 2020 sur les pratiques en matière de Droits humains, le Bureau de la démocratie, des Droits de l’homme et du travail des Etats-Unis relève des disfonctionnements relatifs à la violation des Droits de l’homme au Sénégal.
Le Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail a publié son rapport 2020 sur les pratiques en matière de droits de l’homme. Ce démembrement du département d’État des Etats-Unis a évalué les efforts du Sénégal durant l’année 2020 dans le cadre du respect des droits de l’Homme.
Selon Seneweb ce rapport révèle des actes de torture et autres châtiments ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, des conditions dures et potentiellement mortelles en milieu carcéral, des arrestations ou détentions arbitraires. De sérieux problèmes concernant l’indépendance du Judiciaire, de sévères restrictions limitant la liberté d’expression, la presse et Internet, y compris des lois pénales sur la diffamation orale et écrite », sont les dérives relevées par l’organisation concernant le respect des droits humains au Sénégal en 2020.
Par ailleurs des actes sérieux de corruption du Judiciaire, de la police et de l’Exécutif, un nombre insuffisant d’enquêtes menées en cas de violences à l’égard des femmes et un manque de reddition de comptes dans ces affaires, sont aussi notés. Des infractions et crimes impliquant des violences ou menaces à l’encontre de personnes lesbiennes ont été commis.
Dans un résumé analytique il a été dit que des infractions et crimes impliquant des violences ou menaces à l’encontre de personnes lesbiennes ont été commis. Même si les pouvoirs publics ont adopté des mesures pour identifier les exactions commises par des agents de l’État.