Le 7 avril 2018, Samba Diop, joueur de la Réserve du HAC qui s’apprêtait à rejoindre l’équipe professionnelle, est brutalement décédé à l’hôpital du Havre. La veille, le médecin du club lui avait injecté un produit dans le cadre d’une mésothérapie après un entraînement.5 avr. 2021
«Il n’avait aucune maladie et l’autopsie a révélé une défaillance multiviscérale, c’est que tous les organes de mon enfant étaient détruits. Par quoi ? On ne sait toujours pas. Il a reçu des injections. Quels produits ? Il (le médecin du Havre) a utilisé quels produits ? Il la fait (l’injection) au niveau de la hanche pour anesthésier la douleur pour que le lendemain, il puisse apporter au club ? Mais…, et lui ? Ils font passer les performances au détriment de l’humain.
«(Sur le fait que l’entraîneur de son fils ignorait que son joueur devait prendre une injection) Pourquoi ? Il ne savait pas que Samba allait voir le médecin. (Sur la procédure judiciaire consécutive à la plainte contre le club et le médecin) Rien n’avance alors qu’on a l’autopsie, on a les auditions de tout le monde. Ils ont tous été entendus deux fois. Pourquoi les expertises durent deux ans, j’aimerais comprendre. Quatre juges pour cette affaire. Et quand il change de juge, le nouveau demande encore un délai. Mais ça va durer jusqu’à quan