Sans l’avoir étudié à fond, nos opposants crient sous les toits leurs conceptions anti systémiques contre le Plan Sénégal Emergent. Parce qu’ils l’observent à partir de stéréotypes et de stigmatisations, ils ne trouveront d’autres arguments que les coûts financiers prétendument excessifs ou les inopportunités préconçues dans leurs esprits hostiles aux changements propres aux cercles vicieux de la conformité.
Vous ne réussirez pas réclament ils ! parce que vos ambitions sont demeurées par rapport à nos maigres ressources. A l’examen de nos résultats, le TER les a fait taire. Car en termes de qualité, de confort, de rapidité et de sécurité, nous sommes aux standards internationaux. Le nouvel aéroport AIDB conçu sous le président Wade quand le président Macky Sall était son ingénieux premier ministre, puis corrigé et réalisé entière- ment sous le régime de la seconde alternance, les nouvelles autoroutes à péages, le BRT en construction, les nouvelles centrales électriques hybrides( solaires et éoliennes), la réhabilitation des aéroports internes, la nouvelle compagnie Air Sénégal boostant le secteur touristique et l’interconnexion des pôles territoriaux, les nouveaux centres des savoirs que sont l’Institut du pétrole et du gaz, le holding Petrosen Sa, le reprofilage de la Sar par rapport à notre futur pétrolier et gazier tout proche, tout ce pactole de réalisations à l’actif du président Macky Sall change et modernise complètement les écosystèmes de travail, de production et de bien-être social des sénégalais.
Le PSE modifie et bonifie le climat des affaires et le mode de vie de notre peuple plus ambitieux puisque plus motivé. L’être social détermine la conscience sociale, signe une loi de la dialectique. La philosophie qui sous-tend le PSE bouleverse fondamentalement les concepts de sous cultures, de conventions acceptées bien que dépassées sur l’impossibilité de casser les barrières psychologiques qui freinent notre marche vers le progrès. C’est à nous d’oser faire le saut qualificatif pour le mieux-être de nos populations. Nous ne nous contentons plus du diktat de quelques bailleurs ou décideurs extérieurs, grâce aux nouvelles pratiques de Revue trimestrielle de programmes et plans de financements qui nous permet de corriger les impairs et de dégager la prospective.
C’est tout cela que feint d’ignorer une op- position transformée en grande industrie de parlottes. Il est bien évident que le rythme accéléré entrepris par le PSE est en avance par rapport à notre démocratie bien que celle-ci est au-dessus des normes inter- nationales. Là aussi il s’agit d’une règle sociétale : les changements économiques généralement devancent longtemps les normes culturelles qui ont tendance à se reproduire tout en se conservant. C’est la peur du changement dont n’a pas peur le PSE ! Les étrangers qui débarquent constamment chez nous, malgré les impacts révulsifs de la pandémie du covid-19, sont plus que fascinés par nos succès en 10 ans de rééquilibrage et de gouvernance participative.
Oui ! rien n’est plus comme auparavant. Car le PSE est entrain de territorialiser les politiques publiques, à travers les programmes: Pacasen, pudc, puma, promovilles qui contribuent efficacement à la matérialisation du nouveau pays au- tour binôme: équité et progrès partagé sur l’ensemble du pays.
Souhaitons seulement que les crises et guerres à l’échelle mondiale se résolvent au plus vite et au mieux pour une paix durable à même de conforter les tendances fortes du yonu yokuté sous le président Macky Sall.