Un comité de soutien à Papa Dora Gaye voit
Envoyé en prison pour une scabreuse affaire d’escroquerie foncière, Papa Dora Gaye ne sera pas seul dans son combat pour sortir des mailles de la Dame Justice. Ainsi, un comité de soutien à l’homme d’affaires proche du défunt régime vient de voir le jour. Composé de handicapés, d’aveugles, de « Daaras », de familles de différentes confessions relgieuses (Tivaouane, Kaolack, Touba,Imams de la Casamance, etc.), la structure demande sa libération: »Nous, représentants des groupes et associations ci-dessus mentionnés, lançons un appel urgent et solennel aux autorités compétentes pour la libération immédiate de M. Papa Dora Gaye. Sa présence et son engagement continu auprès de nos communautés sont essentiels et indispensables.
Il a toujours été un pilier de soutien inestimable pour nos groupes. Qu’il s’agisse des personnes handicapées, des aveugles, des daaras, il a inlassablement consacré son temps et ses efforts pour répondre à nos besoins. De plus, il a été un allié indéfectible des familles religieuses de Touba, Kaolack, Tivaouane, Bouchra, Kanène, des imams de la Casamance, et des étudiants. Il nous accompagne dans nos différentes initiatives en apportant toujours son aide précieuse à chaque fois que de besoin. »
…demande sa libération
Selon toujours
les animateurs de ce comité, PDG a toujours joué les bons offices pour pacifier l’espace universitaire: »M. Gaye ne se contente pas de soutenir seulement ses concitoyens. Il a également joué un rôle crucial dans la pacification de l’espace universitaire et dans la gestion des démunis au Sénégal. Sa contribution à l’apaisement des tensions et à la promotion de la paix et de la stabilité au sein des campus de nos différentes universités est bien connue et reconnue de tous. Il a travaillé main dans la main avec l’État, fournissant une aide essentielle qui a bénéficié à toute la population. Alors, ilest impératif que Doro Gaye puisse reprendre ses activités sans délai , surtout en cette période de veille de la Tabaski.
Sa libération n’est pas seulement une question de justice mais, aussi une nécessité pour le bien-être de nos communautés », ont-ils fait savoir.