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Top Infos Rewmi du 12/11/2024

Top Infos Rewmi du 12/11/2024: Mort suspecte de Mamadou Moustapha Ba……Déversement d’acide phosphorique et sulfurique par un camion des ICS…Pool judiciaire financier ……Les impactés de la cité Tobago….La viabilisation intégrale du site (eau, électricité, assainissement et voirie)….

 

Pool judiciaire financier 

Installé, le 17 septembre 2024, le pool judiciaire financier (Pjf) a renvoyé deux premiers dossiers en jugement. Selon une source généralement bien informée, une audience de flagrants délits est prévue, demain, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Un dossier de mise en circulation de faux billets de banque et un autre d’abus de confiance sont  inscrits au rôle.

Mort suspecte de Mamadou Moustapha Ba

Djim Mamadou, frère de l’ancien ministre des Finances Mamadou Moustapha Ba, a déclaré que toute la famille se conforme à la décision du Procureur de la République et attend le permis d’inhumer. « La position est unanime. Le Procureur a ordonné une autopsie, et nous attendons la suite de ses travaux. Il n’y a rien d’autre à ajouter, sinon de patienter jusqu’à la fin de la procédure pour pouvoir procéder à la levée du corps et à l’enterrement à Nioro. Nous attendons de manière paisible et attendons le permis d’inhumer », a affirmé le frère du défunt ministre.

Mamadou Moustapha Ba est décédé en France, lundi 4 novembre à l’âge de 59 ans. Le Procureur de la République près le Tribunal de Grande instance hors classe de Dakar a annoncé samedi 9 novembre, l’ouverture d’une enquête pour rechercher les causes du décès de l’ancien ministre des finances et du budget, Mamadou Moustapha Ba. 

Mort suspecte de Mamadou Moustapha Ba (Bis)

L’autopsie effectuée pour identifier la cause du décès de Mamadou Moustapha Ba révèle des éléments de nature à attester que la mort de l’ancien ministre des Finances et du Budget “n’est pas naturelle”, a déclaré, dimanche, le procureur de la République. « Les résultats de l’autopsie ordonnée pour déterminer les causes du décès du ministre Mamadou Moustapha Ba ont révélé plusieurs éléments qui sont de nature à attester que la mort n’est pas naturelle », a écrit le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Dakar. Dès lors, « les investigations nécessitent des actes d’enquête complémentaires », a-t-il ajouté dans un communiqué. Pour cette raison, la levée du corps et l’inhumation de l’ancien ministre sont reportées, a indiqué le procureur.

Sites d’orpaillage clandestins

 En application du décret présidentiel 2024-1502 du 31 juillet 2024 suspendant les opérations minières à Kédougou, la brigade territoriale de Saraya, appuyée par le GARSI 2, a effectué, du 4 au 10 novembre 2024, des opérations de contrôle et de démantèlement de sites d’orpaillage clandestins situés à moins de 500 m de la Falémé, notamment à Sansamba, Moussala et Saensoutou, a informé le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye qui informe que « douze sites contrôlés, dont cinq ont été entièrement démantelés.

Du matériel a été aussi saisi, composé de  sept groupes électrogènes, trois motos, deux sacs de charbon actif, un bidon d’acide sulfurique, deux appareils de détection d’or. Les forces de l’ordre ont également détruit sur les lieux 10 machines-cracheur, incendié des niaffas et une drague, détaille le communiqué signé par le chef de la DCRP. La gendarmerie invite la population à contacter gratuitement les numéros 800 00 20 20 ou le 123 pour tout renseignement utile.

Déversement d’acide phosphorique et sulfurique par un camion des ICS

Un camion des ICS, transportant de l’acide phosphorique et sulfurique vers Dakar, a déversé, dimanche, une partie de son contenu sur la seule route goudronnée de la ville, exposant ainsi les riverains et passants à une dangereuse contamination. Ces déversements sauvages d’acides et de soufre sur la voie publique « ne sont plus à dénombrer », déplore la plateforme Mboro SOS, qui souligne aussi « les fuites de gaz annuelles, qui déciment les plantations et causent des problèmes de santé aux populations environnantes « .

Pour la plateforme, « ces incidents illustrent, si besoin en était, le mépris que cette entreprise a pour l’environnement et les populations vivantes autour de sa concession ». Mboro SOS rappelle une fois de plus « l’urgence de créer pour les ICS une voie de contournement pour le transport de ces produits toxiques et de lancer les travaux de construction de cet itinéraire, dont le démarrage serait retardé par un dysfonctionnement entre les ICS et l’Ageroute concernant la déviation des camions ». Face au silence et à l’inaction des autorités locales et nationales, la plateforme annonce qu’elle compte désormais « user de tous les moyens légaux pour défendre les droits des populations à un environnement sain ».

Les impactés de la cité Tobago

Par un communiqué rendu public, « les impactés de la cité Tobago détruite par l’État et, étant à nouveau attributaires par une voie administrative conforme dans les nouveaux lotissements (Hangar pèlerins, Recasement 2 et BOA) tenaient à manifester à l’État ainsi qu’à l’opinion nationale, leur inquiétude face aux notes de service successives d’arrêt des travaux depuis le 31 juillet dernier, du fait de supposées attributions ou d’occupations illégales d’autres parcelles dans la même zone.

C’est en ce sens que notre Collectif apprécie à sa juste valeur le communiqué de presse du Secrétariat du Gouvernement qui suscite pour nous une note de grand espoir. Selon notre compréhension, il vient ainsi clarifier la démarche des autorités et l’état d’avancement de leurs travaux. Le collectif adhère totalement à toutes démarches de transparence, de justice et d’équité menées par l’autorité. Juste que cela ne devrait pas accentuer le stress et la désorientation d’honnêtes sénégalais. Le collectif des impactés de Tobago ose espérer et prie pour que la prorogation de 45 jours supplémentaires à laquelle nous nous sommes soumis soit l’aboutissement de notre longue souffrance et permettra enfin aux sinistrés du lotissement Tobago de reprendre leurs travaux dès la mi-décembre prochaine », a-t-on lu dans ledit communiqué.

Les impactés de la cité Tobago (suite)

Ainsi, le collectif a ajouté  » Par ailleurs nous comptons sur l’indulgence de son Excellence Monsieur le Président de la république Bassirou Diomaye Faye pour le paiement des compensations financières promises selon le niveau des peines engagées pour la reconstruction de nos maisons détruites. Le collectif est le reflet du Sénégal avec toutes ses classes sociales d’honnêtes citoyens à la recherche d’un toit après toute une vie de labeur. Nos membres dont certains sont malades ou décédés malheureusement se sont évertués à suivre la procédure normale d’attribution et attendent depuis 10 ans d’être rétablis définitivement dans leur droit.

Ceci sera la marque évidente d’une politique sociale nationale de Jubanti. Nous rappelons aussi à l’Etat qu’il y a encore des victimes qui n’ont toujours pas reçu leur terrain ».  » Enfin, nous sollicitons fortement des autorités compétentes la réalisation d’infrastructures sociales de base qui permettront aux habitants de pouvoir rapidement vivre dans la Cité dans les meilleures conditions d’hygiène, de sécurité et de bien-être. Il en est : 

La viabilisation intégrale du site (eau, électricité, assainissement et voirie)  


L’aménagement d’espaces verts et la construction d’autres édifices publics comme des lieux de cultes, une école et un centre de santé ; nous espérons une oreille attentive à nos préoccupations, restons mobilisés et nous inscrivons dans la nouvelle politique de l’Etat de bâtir un Sénégal souverain, juste et prospère », a-t-on conclu.

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