Selon « Le Quotidien », un policier et un gendarme ont été mis aux arrêts et remis à leur brigade prévôtale. Il leur est reproché de « fournir des renseignements » à Ousmane Sonko et à son équipe.
A en croire le journal, ils ne sont pas les seuls à être dans le collimateur de l’Etat. Deux autres policiers ont également été entendus pour les mêmes raisons avant d’être relâchés. Mais, ils sont tous sous surveillance étroite.