C’est sur le Net que j’ai vu ça : Un monsieur sans doute très distrait, se fait prendre par la police. Ses papiers ? Le seul nom sur sa pièce d’identité c’est « Pèrh eMilistoire »…Mais cela m’a tout de suite rappelé la mère Amy Ndiaye, par ailleurs maire de la commune de Gniby.
Celle-là est comme le cube Jumbo. Elle est dans toutes les sauces. L’année dernière, en pleine plénière de l’assemblée nationale, c’était des bisbilles avec deux mouche-tards qui dînaient, deux gros gaillards députés qui n’ont rien envié à Bombardier ou à Balla. Cela leur avait valu un séjour carcéral « prononcé » comme auraient dit les intellos portés sur la prose, et quelques jours de repos forcé à la maire de Gniby. Nos deux braves parlementaires qui s’étaient en effet ligués contre elle, pour lui servir une petite leçon de savoir-vivre qui restera des années, gravée dans sa mémoire de militante.
Mais cette année, les règles du jeu ont changé. Ce sont les populations de sa commune elles-mêmes qui sont montées au créneau pour dénoncer une «gestion désastreuse» et réclamer des mesures d’urgence pour la sauvegarde de ce qui leur reste de foncier.
Mais ces populations ne seront pas seules dans le combat puisque la plateforme And Siggil Gniby est aussi sur le front pour prêter main forte aux « gnibois » « spoliés » comme on dit maintenant chez les candidats politiciens qui sont tombés du premier étage de la prochaine élection.
« Thiey Yonou yakhoulé ! Quand ça part, c’est vraiment tous les sens…
Sebé