Le collectif National des impactés du Ter a tenu un point de presse au Centre AJW de Wakhinane Pikine, à l’anonymat un bon nombre disent qu’il faut qu’il réponde à l’invitation de l’État du Sénégal
Le collectif des impactés des travaux du train express régional continue de dénoncer le processus de réhabilitation de ses membres par le gouvernement sénégalais. En conférence de presse, le bureau dudit collectif note des irrégularités dans la répartition des montants alloués aux victimes du chantier du TER.
Selon le président du collectif la décision des impacté du Ter à l’anonymat un bon nombre disent qu’il faut qu’il réponde à l’invitation de l’État du Sénégal. D’après le porte-parole il reste des revendications qu’ils sont en train de suivre présentement ils se confèrent sur les impacter. C’est la base de l’assemblée qui s’est prononcée sur ces maux.
En croire le combat va continuer même si le train express régional démarre son travail, ils vont continuer à revendiquer le restant de leur prime de vulnérabilité, le restant sur l’accompagnement social, le suivi de la réinstallation et l’emploi des jeunes. Ils veulent être en possession de leur titre de propriétaire. Ils interpellent à nouveau le Président de la République qu’ils règlent cette situation le plus rapidement possible ils ont constaté que les autorités non pas respectent leur pacte lors de la dernière audience.
À cette heure tous les problèmes devraient être réglés. Ils interpellent aussi le directeur de l’Apix, le problème à beaucoup duré, ce qu’ils veulent qu’il le fasse dans les jours à venir si possible. Ils ont décidé de sursoir la manifestation qu’ils avaient préconisé le jour de lancement du Ter (train express régional). Ce qui reste c’est le payement de chèque de vulnérabilité, que le gouverneur avait pris une décision pour dire qu’il va le payer dès cette semaine.
Il lui a envoyé un message en lui rappelant la dette qui reste. De l’autre côté ils se solidarisent sur le problème des commerçants « nous voulons faire un appel au Chef de l’État, au moins qu’il puisse payer pour les restants du chèque des commerçants et l’avancement du nouveau marché de Thiaroye», explique-t-il. Cela fait partie des revendications des commerçants.