Les choses se corsent pour Hannibal Djim, ce membre de Pastef. Son dossier est criminalisé. Il est poursuivi pour financement d’activités séditieuses et subversives, appel à l’insurrection, incitation à des actes de nature à troubler la sûreté de l’État et apologie à la violence.
En revanche, le mis en cause, entendu par la Sûreté urbaine (SU), sur les cagnottes ouvertes par ses soins et sur ses présumées relations avec la société Kopar express, a nié en bloc, indiquant n’avoir « aucun lien » avec cette entité.
Par ailleurs, il a aussi déclaré que les « cagnottes » n’ont jamais servi à financer des activités ou acheter du matériel pour créer des troubles.