Cheikh Amar vient d’enregistrer une nouvelle victoire sur son contentieux avec le ministère des mines et de la Géologie. Le préfet de Kanel avait fait arrêté les activités de la Société d’études et de réalisations des phosphates de Matam (Serpm) pour la reprise d’exploitation de la petite mine des phosphates de Ndendory.
On n’a pas fini de parler de la petite mine de phosphates de Ndendory. La Société d’études et de réalisation des phosphates de Matam (Serpm), qui l’exploite, vient d’enregistrer une nouvelle victoire judiciaire. La chambre administrative de la Cour suprême a rejeté l’arrêté du préfet de Kanel qui suspendait les activités de la petite mine. Ce dernier invoquait un risque de trouble à l’ordre public.
Libération, qui donne l’information, précise que la haute juridiction s’est prononcée jeudi dernier. Le journal rappelle que c’est la deuxième fois que la Cour suprême donne raison à la Serpm, qui est une propriété de Cheikh Amar. Elle avait freiné le ministère des Mines et de la Géologie, qui avait ordonné l’arrêt pur et simple de l’exploitation de la petite mine.