Dissident de la coalition Benno Bokk Yakaar, Mahammed Boun Abdallah Dionne a décidé de briguer la magistrature suprême. Dans la coalition Dionne2024, on note plusieurs personnalités politiques du régime actuel parmi lesquelles Abdou Aziz Diop. Dans cette rubrique réservée aux militants, l’ancien conseiller spécial de Macky Sall donne cinq raisons de faire de l’ancien premier ministre le président du Sénégal.
“Les cinq raisons de voter et de faire voter pour le candidat Mahammed Boun Abdallah Dionne sont – ce qui est rare dans une élection présidentielle – toutes objectives. Cela s’explique par le fait que la pensée du candidat est au cœur de chacune des cinq raisons présentées ici.
1. SOUVERAINETÉ NATIONALE
Pour le candidat de DIONNE 2024, la souveraineté nationale ne se négocie pas dès lors que « l’indépendance ne s’accommode d’aucune dépendance, ancienne ou nouvelle, ni politique, ni économique, ni financière, ni culturelle, ni sociale.»
2. INTÉRÊT GÉNÉRAL ET CONSENSUS
Mahammed Boun Abdallah DIONNE considère que l’intérêt général et le consensus sont les deux principaux facteurs de développement d’un pays. Aussi écrit-il que « les liens multiformes entre l’intérêt général et consensus national sont des accélérateurs de compétitivité et de développement d’un pays.»
3. REDISTRIBUTION DU REVENU PUBLIC
Cela se passe de commentaire, «la politique de redistribution des revenus apparaît, dans les pays en développement, comme essentielle avec comme objectif l’organisation du partage et de la solidarité vis-à-vis des populations pauvres grâce à un système transparent de transfert de revenus ».
4. MANNES PÉTROLIÈRE ET GAZIÈRE
Pour l’ancien premier ministre du Sénégal, « l’exploitation saine des ressources naturelles dont le pétrole et le gaz demeure un défi majeur et constitue une condition de la paix et de la stabilité sociale, mais également une opportunité de développement socio-économique ».
5. JEUNESSE SÉNÉGALAISE ET AFRICAINE
L’ancien Directeur du Bureau Afrique de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) soutient que c’est « en la capacitant et en l’activant que la jeunesse d’Afrique formera, grâce aux États et au secteur privé africain, le premier avantage concurrentiel du continent et non plus une menace sécuritaire qui hypothèque la réalisation de notre ambition d’être leader, ensemble. »