Des zones très basses, et inondables facilement. Il faut que les eaux stagnantes ne puissent plus demeurer. L’état a les moyens de pomper les zones et que les enfants puissent être dans les mêmes conditions que les autres », tonne le syndicaliste. Il dénonce que des potaches pataugent pour accéder dans les écoles. En ce qui concerne le règlement des problèmes, en tant que défenseur du système, le G20 a demandé aux enseignants d’être prêts. « Nous pensons que les problèmes qui restent à être réglés aussi doivent être faits.
Ecoles inondées : plus de 287 sous les eaux
Malgré l’ouverture des classes, des écoles sont sous les eaux. Selon le G20, il est anormal que des institutions puissent toujours abriter des populations sinistrées. « Les parents d’élèves sont de plus en plus anxieux à cause des frais d’inscriptions et des fournitures scolaires », révèle Hamidou Ba. Dès lors, les acteurs mettent les bouchées doubles afin de libérer les écoles pour un démarrage effectif des cours.
Cherté des inscriptions : l’Unapes alerte les autorités
Pour les inscriptions, selon la circulaire 4465 du 15 septembre 2010, l’Etat a fixé les montants. Pour l’élémentaire, c’est 3 000 frs et 10 000 frs pour le moyen secondaire. Mais il se susurre que des établissements demandent plus. C’est pourquoi, l’Union nationale des parents d’élèves et étudiants du Sénégal (Unapes) alerte.
Selon Abdoulaye Fané, cette année-ci dans le moyen et le secondaire, une circulaire avait été publiée par le ministère de l’Education nationale. « Les textes sont là mais leur application pose problème dans les établissements secondaires publics. Il y a lieu d’appliquer cette circulaire du 15 septembre 2010 qui précise que les inscriptions s’élève entre 3000 Cfa et 10.000 y compris les dépenses comme l’achat de tenue d’éducation physique, de blouse », indique notre interlocuteur. A ce titre, des chefs d’établissements passent outre et demandent plus. Ce qui irrite bien l’Unapes.