Top Infos Rewmi du 10/09/2024: 4 agresseurs déférés au parquet par la police….Accident à Bambey…Arrestation de Cheikhouna Keita….Migration irrégulière…..Abdoulaye Sow….
Migration irrégulière
Une quatrième pirogue porte à 206 le nombre de migrants débarqués aux Canaries ces dernières heures. Selon les premières informations reçues, l’état de santé de ces personnes d’origine subsaharienne est apparemment bon. Cette dernière embarcation est arrivée à Gomera et porte à 206 le nombre de migrants arrivés aux Canaries à bord de quatre pirogues au cours de ces 48 heures. Une information délivrée par des sources du Sauvetage maritime et du Centre de coordination des urgences et de la sécurité (112) du gouvernement des Canaries. Les trois premières embarcations avaient 194 personnes à bord, dont 168 hommes, 24 femmes et deux mineurs, selon le Salvamento Marítimo, tandis que la quatrième pirogue ne compterait que 12 occupants.
Migration irrégulière (suite)
La première barque est arrivée samedi dernier à Lanzarote avec 58 occupants et les trois autres sont arrivées hier dimanche : la deuxième a atteint Fuerteventura avec 83 sans-papiers, la troisième Gran Canaria avec 53 personnes et la quatrième a accosté à La Gomera après 10 h 45, avec 12 migrants. Le Salvamento Marítimo a indiqué que le premier de ces navires a été secouru par le Salvamar Urania et transféré au port d’Arrecife, à Lanzarote, où il est arrivé vers 21 h 45, samedi avec 53 hommes, quatre femmes et un mineur. Le deuxième était occupé par 71 hommes, 11 femmes et un mineur qui ont été secourus par le Salvamar Izar et transportés à Gran Tarajal, Fuerteventura où ils sont arrivés vers 4 h 30 samedi. Le troisième bateau avait à son bord 44 hommes et neuf femmes qui ont débarqué au quai d’Arguineguín à Gran Canaria. Le quatrième, qui a été repéré alors qu’il se trouvait à un mille de La Gomera, est arrivé par ses propres moyens au quai de San Sebastián de La Gomera à 11 h.
4 agresseurs déférés au parquet par la police
Du nouveau dans l’affaire du démantèlement de la bande spécialisée dans le vol avec violence dans la banlieue dakaroise. Le commissariat de Jaxaay a finalement arrêté quatre agresseurs. Ils ont été déférés ce lundi par les hommes du commissaire Youssoupha Thioub, pour association de malfaiteurs, vols multiples commis la nuit en réunion avec violence, usage d’armes et de moyens roulants, vol à l’arraché commis en réunion avec usage de moyens roulants, détention et trafic de chanvre indien. Pour rappel, un motocycliste a été victime d’une agression tendue par son passager qui voulait se rendre à Grand-Mbao. Ne se doutant de rien, A. Sylla a accepté de le conduire dans la nuit d’hier. Il finira par tomber dans l’embuscade planifiée par les complices de son passager particulier.
4 agresseurs déférés au parquet par la police
Pris à partie par trois individus armés de machette et de couteau, A. Sylla a été dépouillé de sa moto Jakarta et de la somme de 59 000 F CFA. Informés de cette agression, les éléments du commissariat de Jaxaay ont réussi à localiser la moto volée à la Cité municipale, à la suite d’intenses investigations. La descente inopinée effectuée dans un appartement meublé sis aux Almadies 2 et à la Cité municipale a permis aux limiers d’arrêter les mis en cause. La perquisition s’est aussi soldée par la saisie de la moto-Jakarta de la victime A. Sylla, d’une moto de marque TMAX, d’une paire de menottes, de 500 g de chanvre indien, d’un permis de conduire, d’un PC au nom de S. Diène et d’autres objets et documents, renseigne la même source. Interrogés sommairement au commissariat de Jaxaay, les quatre mis en cause ont avoué être les auteurs de l’agression sur la route de Grand-Mbao.
Arrestation de Cheikhouna Keita
Suite à l’arrestation de son secrétaire général, actuellement, en garde à vue, le mouvement « Force Dolel Askan Wi » a écrit à l’organisation Human Rights Watch pour dénoncer les restrictions de liberté sous le régime de Diomaye FAYE. Il a invité Human Rights Watch à examiner de près ces développements et à faire pression sur le gouvernement pour qu’il respecte les normes internationales en matière de droits humains. Selon Amadou Moustapha GAYE, «Cheikhouna KEÏTA a été arrêté pour diffusion de fausses nouvelles et cela est révélateur d’une tendance inquiétante à réprimer les voix dissidentes et à restreindre la liberté de la presse ».
Accident à Bambey
Le nouveau directeur général de l’Agence nationale de la sécurité routière (ANASER), Atoumane Sy n’a pas tardé à réagir suite à l’accident mortel qui a eu lieu ce lundi à Ndangalma, dans le département de Bambey. Selon lui, « il faut mettre l’accent sur la sensibilisation pour que les usagers de la route adoptent des comportements responsables ». Donnant l’assurance que les nouvelles autorités sont en train de prendre un certain nombre de dispositions pour trouver des solutions durables aux accidents de la route, le directeur de l’Anaser annonce notamment une amélioration des infrastructures et l’environnement du secteur des transports routiers. «
Abdoulaye Sow
Le 2e vice-président de la fédération sénégalaise de football, Abdoulaye Saydou Sow, par ailleurs ancien ministre sous le régime de Macky Sall, est revenu hier sur l’interdiction de sortie du territoire qui lui a été communiqué par la police des frontières alors qu’il devait se rendre au Malawi avec les « Lions ». Face à la presse, l’ex-ministre de l’urbanisme précise d’abord : « Tout le monde sait que je suis vice-président à la fédération sénégalaise de football. Nous devions jouer ce matin contre le Burundi. L’Etat du Sénégal a affrété un avion spécial pour se déplacer au Malawi. L’Etat a reçu le manifeste de tous les dirigeants et mon nom y figurait. Personne ne m’a signalé rien du tout. C’est à trois heures du matin que je me suis rendu à l’aéroport et J’ai fait toutes les formalités.»
Abdoulaye Sow (Bis)
«Ils ont mis le cachet. Puis, quand je devais faire la traversée, un policier est venu me dire : ‘‘Monsieur le ministre je peux voir votre passeport il y a une petite vérification à faire ?’’. J’ai obtempéré. Dix minutes plus tard, c’est un lieutenant qui vient pour me dire : ‘‘Nous avons une opposition pour votre sortie du territoire national.’’ Je lui ai dit : ‘‘Vos instructions doivent être écrites. Je vous demande de voir l’instruction’’. Il me dit : ‘‘Monsieur le ministre il faut me croire, j’ai reçu une instruction. Moi je suis de la police des frontières, je ne suis pas agent de police judiciaire.’’ Je lui ai demandé de me notifier l’instruction. Après il disparaît.», a encore détaillé Abdoulaye Saydou Sow, avant de lancer un message au Premier ministre, Ousmane Sonko pour lui dire qu’il ne fuira jamais et qu’il n’a pas peur puisque n’ayant été cité dans aucune malversation. « Ousmane Sonko se trompe lourdement. Car je ferai face tant que je serai en vie. Aucune intimidation ne peut m’ébranler», prévient-il.