Top Infos Rewmi du 22/11/2024: Serigne Mountakha annonce de grands travaux….. »La presse toujours sous asphyxie fiscale et économique »…Moustapha Diakhaté convoqué à la cybercriminalité ce vendredi….Baltasar acquitté par la Cour Suprême…
Moustapha Diakhaté convoqué à la cybercriminalité ce vendredi
L’ancien député Moustapha Diakhaté est convoqué à la cybercriminalité ce vendredi. C’est lui-même qui a donné l’information via sa page Facebook. Sur la convocation, aucun motif n’a été mentionné. M.Diakhaté qui a réagi à cette convocation, informe qu’il répondra « avec un immense plaisir ». « Je répondrai, avec un immense plaisir, à la convocation de la Cybercriminalité », a-t-il écrit.
Serigne Mountakha annonce de grands travaux
C’est entouré de dignitaires mourides, parmi lesquels on peut citer son porte-parole Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, la personne morale de Touba Ca Kanam Serigne Habibou Mbacké Falilou etc… que Serigne Mountakha Mbacké a annoncé une série de travaux au niveau de la grande mosquée et à ses alentours. Cette décision procède de la volonté de mieux sécuriser l’édifice face aux inondations et aux conséquences liées au poids de l’âge. « Nous avons envie de consacrer toute notre vie à Serigne Touba. Dès que nous terminons un projet, nous en engageons un autre… aussitôt. Nous avons l’obligation de rester debout. Il faut de la volonté en permanence. Et là, je m’adresse à tous mes parents et à l’ensemble des disciples de Serigne Touba. Nous avons une nouvelle ambition.
Serigne Mountakha annonce de grands travaux
C’est assez pressant comme nécessité et elle est liée à la mosquée. Je demande à tout le monde de se dresser à nouveau comme un seul homme. La mosquée doit demeurer une priorité en raison de ce qu’elle représente pour nous mais aussi eu égard à celui qui repose à côté. Nos prédécesseurs ont tout fait pour l’entretenir et l’embellir. Nous aussi, avons l’obligation de faire quelque chose. Il est impératif, avant que je ne parte les rejoindre, de nous occuper davantage de cette mosquée, surtout avec cette problématique des inondations ». Le patriarche de poursuivre. « Que tout le monde sache que nous avons décidé de nous occuper des alentours de l’édifice pour ensuite vérifier de fond en comble l’édifice elle-même dans son for intérieur. J’en appelle à la mobilisation. Que la mosquée soit rénovée, retapée, embellie. Nous sommes en train de réfléchir autour des voies et moyens à emprunter pour que, dare-dare, cet objectif soit atteint ». Il faut rappeler que lors du dernier hivernage, les eaux pluviales avaient créé un décor désolant autour de l’édifice.
« La presse toujours sous asphyxie fiscale et économique »
« Beaucoup de fausses informations circulent sur le « dégel » entre la presse et le nouveau régime issu de la 3ème alternance politique au Sénégal. Aujourd’hui, jeudi 21 novembre 2024, la presse sénégalaise a vu au contraire sa situation empirer, particulièrement pendant tous les huit mois du magistère du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. D’où vient donc cette fallacieuse information de « bouffée d’oxygène » pour la presse ou de « dégel » entre les médias et le nouveau régime ? », a d’emblée réagi, dans une note transmise, le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane. Concernant l’information relative au déblocage des comptes bancaires de la presse, M. Kane a précisé. » Dans une note d’information à usage interne, j’ai rendu compte aux entreprises de presse de ma conversation téléphonique du mercredi avec le Directeur général des Impôts et Domaines (DGID). M. Abdoulaye Diagne m’a informé qu’il avait donné instructions à ses services de « débloquer » les comptes bancaires des entreprises de presse. J’ai alors demandé aux entreprises de presse de se rapprocher de leur centre fiscal pour demander une « mainlevée », base légale pour les banques pour débloquer leurs comptes bancaires. Toutes les entreprises de presse n’ont pas encore obtenu ce document « miracle ». Par conséquent, il serait faux de parler d’un quelconque « dégel » ou « bouffée d’oxygène » ».
« La presse toujours sous asphyxie fiscale et économique »
Et d’ajouter : » À ce jour, la crise profonde, que les entreprises de presse traversent depuis les 8 mois du magistère de Son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye, comporte deux volets : Fiscal (1. Non-reconnaissance de l’effacement fiscal en compensation de l’absence totale d’accompagnement durant le Covid-19. 2. Refus de moratoire sur la dette fiscale. 3. Poursuites des impôts et procédures de saisie des équipements et des mobiliers avec blocage des comptes bancaires) ; Économique (1. Non-paiement des créances dues par l’État et ses démembrements aux entreprises de presse. 2. Résiliation unilatérale par l’État et ses démembrements des contrats publicitaires avec les entreprises de presse privée. 3. Blocage de l’aide à la presse au titre de l’année 2024). Cette crise économique et financière a engendré un drame social pour les travailleurs des médias avec, comme corollaires, des licenciements, du chômage technique, des arriérés de salaire, des retards des cotisations sociales et l’interruption de la couverture maladie. Cette précarité extrême fait de la presse sénégalaise un secteur sinistré avec des entreprises en situation de quasi-faillite, un danger pour la démocratie ». « Dans ce contexte, la presse sénégalaise, déjà magnifiée pour son rôle dans les trois alternances politiques au Sénégal, a malgré tout continué à assurer sa mission de service public avec une couverture exemplaire des élections législatives anticipées. Au soir du 17 novembre 2024, la presse a relaté les résultats du scrutin, ce qui a permis notamment d’annihiler tout trouble post-électoral. Encore une fois, au service de la démocratie. C’est cette mission de service public que la presse veut continuer de jouer dans le cadre d’un État de droit. À ce titre, la presse sénégalaise reste en attente de la matérialisation de l’appel, le 14 août 2024, au « dialogue rénové » du président de la République », a-t-il conclu.
Baltasar acquitté par la Cour Suprême
Après avoir été emprisonné à la suite du scandale des sextapes qui a éclaté en Guinée-Équatoriale, Baltasar a été finalement acquitté. C’est ce que le média Voz Magazine a rapporté. La Cour suprême de Guinée-Équatoriale a rendu son jugement dans l’affaire de Baltasar Engonga, qui a été reconnu innocent après la fuite de plus de 400 vidéos à caractère sexuel sur Internet, selon les médias. Selon le tribunal, toutes les femmes qui ont eu des relations avec Baltasar étaient majeures et étaient pleinement consentantes. Aucune preuve ne permet, selon les juges, de conclure qu’elles ont été contraintes ou influencées dans leurs décisions. Des examens médicaux ont également confirmé que Balthazar n’a pas transmis de maladie sexuellement transmissible à ses partenaires. L’affaire s’est également déroulée de manière imprévue. De nombreux hommes, maris des femmes concernées, ont réagi de façon étonnante.
Baltasar acquitté par la Cour Suprême (suite)
Quelques-uns ont exprimé leur reconnaissance envers Baltasar, déclarant que ces vidéos leur ont permis de faire la découverte des infidélités de leurs femmes. Plusieurs d’entre eux ont été amenés à divorcer en raison de cette situation, considérant que ces révélations étaient indispensables pour mettre un terme à des relations considérées comme malhonnêtes. Bien que la décision soit favorable à Baltasar, il a vivement condamné la diffusion des vidéos, qu’il estime comme une violation grave de sa vie privée. Il a déclaré qu’il allait déposer une plainte contre les individus responsables de cette fuite. Il estime que cette action a nui énormément à sa réputation, en l’exposant non seulement à sa femme et à sa famille, mais aussi à l’ensemble de la république. La situation a été qualifiée de traumatisante par Baltasar, qui a déclaré qu’elle a eu un impact sur sa vie personnelle et professionnelle. Il s’est indigné de ce qu’il appelle une campagne de diffamation contre lui, ajoutant qu’il souhaite que les responsables soient identifiés et jugés. Nous reviendrons là-dessus.