Juan Branco a aussi informé de procédures complémentaires déclenchées en France, en parallèle à celle entamées à la CPI. Une façon pour l’avocat de ne pas dépendre des effets pouvoir qui influencent cette institution et se prémunir de toute impunité. Il veut s’assurer que « les dignitaires de ce régime ne puissent plus remettre les pieds sur le continent européen sans craindre de se voir arrêter ».