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Fermeture de ses filiales africaines: Wave dément !
Fermeture de ses filiales africaines: Wave dément !

Fermeture de ses filiales africaines: Wave dément !

Wave aurait procédé à des licenciements dans plusieurs de ses filiales africaines. Pour des raisons économiques, la Fintech aurait décidé de fermer boutique dans ces pays. Le rival d’Orange money s’explique.

Wave a formellement démenti ce mardi 5 juillet, l’information selon laquelle, ses filiales basées au Mali, Burkina et en Ouganda ont fermé boutique pour raison économique. En effet, depuis hier, un communiqué signé par «Wave Mali» faisant état d’un licenciement du personnel pour raison économique a fait le tour des réseaux.

Dans un communiqué, la Fintech explique : « Afin de garantir un fonctionnement optimal de nos services et pour rester agile dans ces trois pays, nous avons dû prendre la décision particulièrement difficile de réduire nos effectifs, ce qui ne correspond aucunement à une fermeture de nos filiales tel que relaté dans la presse en ligne. Nous réitérons notre engagement à continuer de servir les 10 millions d’utilisateurs actifs qui nous font confiance au Mali, au Burkina Faso, en Ouganda, en Côte d’Ivoire et au Sénégal ».

La Fintech a également réaffirmé sa volonté à continuer de servir les 10 millions d’utilisateurs actifs qui leur font confiance au Mali, au Burkina Faso, en Ouganda, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. C’est dans cette perspective qu’elle tient à rassurer ses clients, ses partenaires et l’ensemble des populations qu’il est plus que jamais déterminé à rester dans les trois pays cités à long terme afin de continuer à œuvrer pour l’inclusion financière.

Wave de rappeler que les retraits et paiements sont toujours gratuits et les transferts à 1% tout en rappelant les médias et les populations à «la plus grande vigilance et à ne se référer qu’aux communications officielles et vérifiées du groupe Wave Mobile Money.»

Le groupe n’exclut pas par ailleurs, «le droit d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs et complices des actes et des messages de nature à porter atteinte à notre image, notre réputation commerciale sur nos différents marchés et à notre crédibilité».

M. BA


 

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