Chez nous, quand on dit d’un homme public que c’est un politicien, cela veut dire : » mooy lolou, ci gaatal « . Mais pas toujours, et pas tous, heureusement. Il existe des exceptions et le docteur Diallo Diop en fait partie. Pour l’amour de son pays, de la patrie, cet homme est de tous les combats, de toutes les luttes.
Bien avant les années 70 de Cheikh Anta, et même après le Pastef de Boy Sonko qui vient d’être officiellement dissous. Il n’a jamais rien perdu, Pape Diop (comme on l’appelle à la maison), parce qu’il n’a jamais rien cherché d’autre que le bonheur de ses compatriotes et l’amour de la patrie.
Voilà pourquoi, il ne saurait sortir de la liste des dix premiers sénégalais les plus crédibles, si jamais l’envie nous commandait de dresser une liste. Étudions sa « météo » politique pour 2024 : «Même sans Sonko, Pastef aura un candidat à l’élection présidentielle de 2024.
Que le régime en place en prenne de la graine. Le Pastef sera dans les starting-blocks le dimanche 25 février 2024 ». Pour le vice-président chargé du panafricanisme et des questions mémorielles du Pastef, le parti a bien été dissous le 31 juillet 2023, son leader, Ousmane Sonko, ses hauts cadres et beaucoup de ses militants croupissent certes en prison, mais l’esprit de la formation politique reste toujours vivace. Aux boys de Big Mack d’apprécier.
Sébé