Impact de la recherche climatique: Le CGIAR s'active en Afrique
Impact de la recherche climatique: Le CGIAR s'active en Afrique

Impact de la recherche climatique: Le CGIAR s’active en Afrique

Après une exposition organisée en virtuel,  le 17 mai 2021, en virtuel, des résultats sur l’adaptation de l’agriculture aux changements climatiques ont été prises afin d’améliorera l’accès aux services d’information climatique et aux technologies agricoles intelligentes validées en Afrique. Aujourd’hui s’est tenu un atelier de lancement et d’échange sur l’impact du changement climatique dans le monde particulièrement en Afrique. Une initiative du CGIAR qui s’engage dans ce combat en s’appuyant sur le rôle essentiel que joue la science et l’innovation.

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Face à une menace sérieuse pour la productivité la productivité de l’agriculture et de l’élevage dans les sous-régions d’Afrique qui sont déjà en situation d’insécurité alimentaire, le CGIAR a procédé au débats d’échanges sur l’adaptation au changement climatique dans les systèmes agricoles et alimentaires. Un atelier sur l’impact de la recherche climatique du CGIAR en Afrique a été organisé ce Mardi au King Fahd Palace. Il faut juste retenir que l’impact sur le climat est plus accentué pour les cultures de mais, du mil, du sorgho et du blé.

L’objectif de cet atelier est de présenter AICCRA- Sénégal aux décideurs politiques, partenaires et collaborateurs mais aussi de mettra en place un programme solide pour mettre en oeuvre les activités priorisées par cette plateforme afin que ce programme puisse bien répondre aux besoins réelles de chaque localité. L’Afrique pour la plupart des pays dépendent de l’agriculture qui est menacé par les changements climatiques en plus des difficultés économiques résultant de la crise de la Covid-19, par ailleurs a aggravé l’insécurité alimentaire dans la région.

En reconnaissance du role essentiel joué par la science et l’innovation pour permettre l’adaptation de l’agriculture africaine au changement climatique, la Banque mondiale a approuvé une subvention en soutien au CGIAR pour aider les pays africains à renforcer la résilience de leurs secteurs agricoles face à la menace posée par le changement climatique. Ce projet soutiendra aussi les programmes et activités CCAFS-Afrique les plus stratégiques et les plus forts en impacts. A cet effet, AICCRA pourra combler une lacune critique en mettant la recherche et l’innovant de pointe du CGIAR à la disposition des NARS et d’autres parties prenantes clés en Afrique, ce qui pourra faciliter le développement de services d’information climatique (CIS) et favoriser l’adoption de solution dans les sous-régions extrêmement vulnérables au changement climatique dans des pays sélectionnés en Afrique Occidentale (Ghana, Mali et le Sénégal); orientale et australe (Ethiopie, Kenya et Zambie).

Pour le Sénégal, l’objectif d’AICCRA est d’accroitre l’accès des prestataires de services de recherche et de vulgarisation agricoles en Afrique aux connaissances, aux technologies et aux outils de prise de décision pertinents pour améliorer la résilience des systèmes agricoles et alimentaires. Elle renforcera également la capacité des institutions publiques régionales comme CERAAS/ISRA, ANACIM, ANCAR…et des entreprises privés à développer les modèles d’affaires pour les services du climat. En cette année, le programme est coordonné par l’Institut International de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT) contrairement à l’année prochaine, AICCRA-Sénégal sera dirigé par l’International Liverstcok Research Institute.

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