L‘alumni des anciens stagiaires de la Corée du Sud (ALASCO) a rencontré ce mercredi les étudiants de l’institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Diamniadio. Une rencontre de partage d’expériences sous le thème: » Former, inclure et inspirer pour une jeunesse unie et équitable ».
Pour mieux orienter les étudiants dans leur vie professionnelle, l’alumni des anciens stagiaires de la Corée du Sud (ALASCO) est allé à la rencontre des apprenants de l’institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Diamniadio. Selon le vice-président de l’Alasco, Ibou Ba, cette rencontre a permis d’exposer les grandes lignes de principes de l’environnement. « Cest une zone d’acquisition de connaissances et de compétences et très spécialisée. Nous avons eu aussi en retour la contribution des apprenants, comme ceux qui sont en formation pour être opérateurs de bases de données ou bien pour faire du back-office des métiers qui sont sur des back-piste ou tous ceux qui sont opérationnels », dit-il. Et d’ajouter : » L’avantage d’échanger avec eux, nous a permis surtout de revenir qu’à la base, ils ne voulaient pas être des apprenants, ils étaient juste des gens qui étaient dans le général à la base. Ils voulaient une spécialisation. Également, cela les a donné beaucoup plus de perspectives. Ils peuvent se spécialiser en tentant d’être dans le marché du travail à la fin des études ». Le vice-président de l’Alasco explique qu’ils ont également exposé certaines difficultés qu’ils peuvent avoir en termes informationnels et logistiques. « Mais, ils n’ont aucune crainte que, dans tous les cas, la maîtrise de leur spécialisation leur permettra d’être dans le marché du travail, ce qui est rassurant », soutient-il. D’autres thèmes comme l’intelligence artificielle et le parcours d’expérience de vécu en Corée du Sud pour exposer que la motivation, la réussite, dépend d’avoir de la volonté pour acquérir du service ont été abordés.
Une activité fortement appréciée par les apprenants de l’ISEP. Selon Djibril Sow, leur président, le thème leur a permis de s’inspirer de beaucoup de choses. » Les conditions d’apprentissage sont dures. Nous avons parfois du mal à accéder au site parce que c’est très enclavé. Mais, on y donne de très bonnes formations de qualité.Car à la sortie, on est opérationnel », se réjouit-il. Ces apprenants comptent bien entreprendre, faire des réalisations et travailler en freelance après leur formation dans ce temple du savoir.
NGOYA NDIAYE