Le patron du Prodac est un homme très courageux. Il a également été à bonne école et n’a pas dû voler son diplôme d’économiste qualifié. Que lui manquerait-t il alors pour lui permettre de réussir ses missions quand on sait que pour la plupart de ces interlocuteurs sont des jeunes de moins de 35 ans? Ce brin d’humilié nécessaire au commerce et non cette propension à éclater un savoir quand on sait que la plupart du temps, il y a eu une grande différence entre homme cultivé et homme instruit.
Malick n’est pas arrogeant pour autant, du moins pas trop. Comme tous les autres de son âge, il a parfois tendance à désagréments de temps en temps dans le discours, il n’en reste au moins comme un homme courtois comme il a montré l’autre jour dans son débat à la Sen Tv.
Comme il l’a fait dans un petit « Garouwalé » a adressé à Kilifa du groupe « Keur Gui » et de Yen a marre, en lui faisant savoir qu’il faisait bénéficier d’un prêt de la Der, mais aussi quand il s’est mis à tirer à boucler rouges sur le chroniqueur Omar Faye, qui n’était pas au centre du débat. Un peu d’humilité et de maitrise de cela, ferait peut être le bonheur du DG de la Prodac, à condition qu’il sache faire la différence un conseiller et un glam.