« Kogn Bi » du 25 01 2023: Le Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba sera finalement inauguré le 06 février 2023. La pose de la première pierre avait eu lieu le 05 décembre 2018….Le journaliste Moussa Fall de Dakaractu a subi une agression, ce mardi, à Kaolack lors de la session extraordinaire du vote du budget de la mairie, informe Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS)……
Kajou Rajab célébré le 17 février prochain
Le magal de Kajou Rajab, manifestation religieuse commémorant la naissance du deuxième Khalife des mourides, Serigne Fallou Mbacké, sera célébré le 17 février prochain. Un comité régional de développement (CRD) préparatoire à cet événement religieux s’est tenu, hier mardi, à la gouvernance de Diourbel, sous l’égide de la gouvernance de région. Cette rencontre a servi de prétexte à l’autorité administrative et aux participants de revenir largement sur la problématique de l’approvisionnement correct en eau au niveau de la ville de Cheikhoul Khadim, entre autres, sujets.
Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba
Le Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba sera finalement inauguré le 06 février 2023. La pose de la première pierre avait eu lieu le 05 décembre 2018. C’est Serigne Mountaqa Mbacké qui avait personnellement procédé à l’acte en compagnie du ministre de l’intérieur d’alors, Aly Ngouille Ndiaye. L’information émane de son porte-parole Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre. Le complexe universitaire, financièrement évalué à 37 milliards de francs Cfa, a presque achevé sa phase primaire. Le comité en charge du volet pédagogique de l’université dirigé par Serigne Ahmadou Badaoui Mbacké qui a aussi supervisé la réalisation du chef d’œuvre, assure déjà que l’institution est prête à accueillir sa première cohorte d’étudiants. Pour une capacité de 1 200 places présentement et 10 000 à terme, l’université devra faire de Touba un hub du savoir et jouer sa partition dans l’offre éducative. Des structures comme Touba Ca Kanam avaient déjà livré le bâtiment engagé estimé financièrement à 700 millions de francs. L’Université est née de la vision de Cheikh Ahmadou Bamba qui disait dans un de ses poèmes ce qui suit : « Mon Seigneur, par la grâce du Prophète Élu, m’a construit une école par laquelle Il éloignera le mal, l’ignorance et le labeur » (Limahin Bachirin).
Moustapha Cissé Lo brise le silence
Moustapha Cissé sort de la sa réserve. Il s’est affiché en public ce mardi. Il en a profité pour lancer un appel solennel pour la préservation de la cohésion sociale. De manière concrète, l’homme politique a invité chacun à cultiver la paix, à se retrouver vers Dieu pour implorer son pardon. Moustapha Cissé Lô s’exprimait, à l’occasion, du baptême de son petit-fils (l’un des fils de Cissé Lô baptisait son enfant). Il faut dire que la situation politique est tendue ces derniers jours. Du moins depuis que le doyen des juges d’instruction a décidé de porter l’affaire Ousmane Sonko Vs Adji Sarr devant la chambre criminelle pour jugement.
Abdoul Mbaye interpelle Wade et Diouf
L’ancien Premier ministre de Macky Sall, Abdoul Mbaye a parlé de son inquiétude sur la situation politique et la gouvernance du pays. Il a demandé aux anciens présidents Abdou Diouf et Abdoulaye Wade à s’exprimer « dans le souci de contribuer à éloigner notre Nation de la zone de turbulence » « Nous avons au Sénégal deux anciens présidents de notre République. Il est l’heure pour eux de s’exprimer sur la situation politique et la gouvernance du pays dans le souci de contribuer à éloigner notre Nation de la zone de turbulence dans laquelle elle pourrait s’engouffrer », a twitté M. Mbaye.
Un journaliste agressé à Kaolack
Le journaliste Moussa Fall de Dakaractu a subi une agression, ce mardi, à Kaolack lors de la session extraordinaire du vote du budget de la mairie, informe Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS). « Moussa Fall qui a accédé à la salle de la mairie de Kaolack après avoir exhibé sa carte de presse et sa carte d’identité, a par la suite été prié de quitter les lieux par trois gros bras qui, face à son refus, l’ont violenté et jeté dehors lui occasionnant des blessures », précise le syndicat dirigé par Bamba Kassé. Le SYNPICS encourage la direction de Dakaractu à porter plainte auprès du procureur de Kaolack et demande au journaliste d’en faire de même à titre personnel. «La responsabilité de l’institution municipale est engagée », accuse le SYNPICS. En soutien au journaliste de Dakaractu, le SYNPICS se réjouit de «l’acte de solidarité immédiatement pris par les confrères présents sur place après avoir été témoin de l’agression ». Ceux-ci ont boycotté la session budgétaire.
Seydi Gassama parle de l’indépendance de la justice
Après Birahime Seck, c’est au tour de Seydi Gassama, coordonnateur d’Amnesty Sénégal de mettre son grain de sel dans ce débat autour de l’indépendance et l’impartialité de la justice au Sénégal. Ceci, en réponse à la déclaration du chef de l’État Macky Sall, lors de la rentrée solennelle des Cours et Tribunaux. De l’avis de Seydi Gassama, «tant que cet État continuera à se dire démocratique, les citoyens auront et exerceront leur droit de critiquer les institutions, y compris l’institution judiciaire, lorsque leur indépendance et leur impartialité sont en cause». À en croire le représentant local d’Amnesty International, «il n’y a pas de justice indépendante au Sénégal, bien qu’il y ait, dans le corps de la magistrature, des magistrats indépendants.
Seydi Gassama parle de l’indépendance de la justice (Bis)
La Commission nationale de réforme des institutions a fait, en 2013, un diagnostic sans complaisance des maux de la justice et proposé des réformes», a analysé M. Gassama. Toutefois, dénonce-t-il, «toutes les propositions de réforme qui pouvaient donner au pays une justice indépendante ont été rejetées par le président Macky Sall. Le système qui permet à l’Exécutif d’avoir la haute main sur le pouvoir Judiciaire a été préservé». Pour rappel, lors de la rentrée solennelle des Cours et Tribunaux qui s’est tenue le lundi 23 janvier 2023, le chef de l’État s’est prononcé sur les attaques à l’encontre de la justice. Il a ainsi engagé l’État à défendre la justice avec «fermeté