Après 72h de manifestations entre jeunes et FDS suite au verdict du procès de l’affaire sweat beauty, la population Dakaroise trouve du mal a reprendre ces activités. En ce début de semaine, lundi aucun embouteillage, la circulation est fluide, mais les supermarchés en ville été bondé de monde. Normale c’est la fin du mois les gens se ravitaillent mais également par mesure de précautions pour parret a tout éventualités de heurts qui sans doute pour certains pourrais reprendre.
Les récentes manifestations sanglante qui ont éclatées à Dakar et un peu partout dans le pays après la condamnation de 2 ans de prison de Ousmane pour « corruption de la jeunesse » de son procès pour viol l’opposant a la masseuse Adji Sarr font encore peur a la population de Dakar. Une ambiance morose regne pratiquement dans toute la ville en ce début de semaine. De Guediawaye au centre ville passant par Colobane, les activités ont repris timidement, les banques sont fermées, ainsi que beaucoup d’administrations n’ont pas travailler sans oublier les élèves et étudiants dons les cours ont aussi vaqués pour ne pas les exposer. Les rares service dont les activités ont connu beaucoup de mouvement qu’on a constaté sont les supermarchés et les agences de voyage ou encore le marché et les stations.
La violence, le saccage et le pillages des magasins font prude au population Les populations retiennent encore leur souffle sur les rares violence accompagné de terrible saccage et de pillages des magasins de grande surface. Ces derniers disent être surpris de l’ampleur des manifestations qui selon eux la situation est certes calme pour le moment mais risque de dégénérer a tout moment. » La situation ne présage rien de bon mieux vaut prendre ces précautions’ a laissé une dame la quarantaine rencontré au supermarché Casino. Sophie Ndon s’est elle présenté. » Vu la façon dont les jeunes sont sortis en masse lors des manifestations dernière en banlieue avec les nombreuses saccage constatés je doute fort que ces magasins qui restent soient épargnés. J’ai peur qu’ils reprennent dans les heures à venir raison pour laquelle je fais les cours j’achète tout ce que je peux pour éviter le plus de déplacement possible en attendant que le calme revient véritablement dans notre pays » a soutenu Mme Ndong secrétaire dans un établissement de la place.
Même son de cloche chez Monsieur Ferret, qui soutient que la situation et plutôt tendue ces derniers jours, tout le monde est inquiet mais espère tout de même que les choses vont s’apaiser tout de même car selon lui, le Sénégal est un pays de paix et de stabilité.
Plus loin à l’agence de voyage air France, les activités se déroulent normalement se le vigile. Debout devant la porte le monsieur gère les entrés et sorties selon renseignements demandés. Toute foi il n’a pas voulu parlé avec nous. À peu près 5 minutes passée a voir comment vont les activités dans ce service, une dame du nom de Konaté accepte de nous parler. Cette dernière est venue acheter son billet pour retourner en France où elle vie avec ces enfants, » j’etais venu en vacances voir l famille mais avec la situation instable du pays, mes enfants s’inquiètent m’ont demandé de rentrer le plus tôt possible, les billets sont cher actuellement mais je n’ai pas le choix et je ne peux pas attendre, ces derniers jours vraiment j’ai pas reconnu mon pays », explique t’elle avec désolation. Elle n’est pas la seule dans cette situation, a écourter son séjour au Sénégal, des écrivains venu d’ailleurs, qui étaient venus assister au Festival international de Littérature de Dakar qui devrait s’ouvrir à partir du 07 de ce mois de juin annulé a cause des manifestations aussi sont sur le point de rentrée. Car le climat qui règne actuellement au Sénégal n’est pas propice aux événements.
Nombreux sont les évènements qui devraient se passer dans ce mois de juin qui ont été repoussés a une date ultérieure.
Les Cauris d’or organisation par le mouvement des entrepreneurs du Sénégal ou encore le FILID qui réuni les écrivains du Sénégal et de la Diaspora. Pour rappel, le jeudi 1 juin, l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, accusé de viols répétés et menace de mort par la masseuse Adji Sarr, a été condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse », compromettant encore davantage sa candidature à la présidentielle de 2024 dans un contexte de vives tension ou la troisième candidature du président Macky Sall hante le sommeil des autres leaders politiques et de la société civile.