La prison n’est faite pour personne. A plus forte raison ( rawatina en wolof ), les hommes de presse dont certains laissent parfois leur vie sur les « champs de tirs », juste pour vous servir des informations fraîches le matin, à l’heure du laitier.
Prions donc pour que les journalistes en prison recouvrent vite leur liberté, parce que, la plupart du temps, ce qu’on leur reproche ne mérite franchement pas la prison.
Mais dans la même VEINE, aussi paradoxalement que cela puisse paraitre, il y a de l’autre côté des journalistes qui semblent adorer la bagarre. Du moins sur le Net.
Sébé