C’est « temps boy » que nous avons commencé à entendre parler de Robert Bourgi et de son frère Albert.
Mais si Albert se sentait carrément sénégalais et pouvait renoncer à beaucoup de choses pour l’amour du pays, il n’en était pas exactement de même pour Robert. Ou Bob pour les intimes et les amis riches.
C’était pas pas pareil quoi! D’accord, Bob aimait aussi le pays, connaissait tout le monde, mais quand ce n’était franchement pas rentable, il ne perdait pas beaucoup de temps pour des amours improductifs, stériles, qui ne sont pas un gagne-pain. Plutôt fouetter ses méninges.
Homme et avocat d’affaires, Bob s’est très en tôt établi en France, et vit de dividendes politiques, qu’ils émanent de l’Hexagone ou de Djolof-Land.
C’est d’ailleurs lui et quelques uns de ses copains mi-français, mi-africains, qui sont à la base de la France-Afrique, ce fameux système de magouille politicienne qui sert à pomper les grands politiques, locaux comme métropolitains.
Ça rapporte plus que le loto. Tu mises à gauche et à droite, et tu attends que le fruit tombe au milieu, pour récolter.
Vous comprenez maintenant pourquoi, depuis le depart de Macky Sall,c’est seulement maintenant que Bob croit bon de nous avertir de la situation du pays, alors qu’il etait aux abonnés absents quand sous Macky et ses balles, les gosses tombaient comme des mouches ?
Pas besoin d’être un génie pour savoir que sa sortie d’avant-hier n’était destinée qu’a tâter le pouls de l’utilité « pratique » d’un Diomaye ou d’un Sonko. Rien d’autre, car ce n’est pas la première fois que Bob essaye de nous pomper, depuis le départ du mari de Madame
Sébé