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GO : D’où nous viennent alors ces chers bracelets ?

Le journaliste Adama Gaye affirme avec force que c’est Aïssata Tall Sall, l’ancienne ministre des affaires étrangères qui aurait filé le marché de ces chers bracelets électroniques à son propre gendre,  » with a little help from her friend Malick Sall, également ancien ministre de la Justice.  

A son tour, Aïssata jure sur ses grands dieux qu’elle n’a jamais confié un marché à un proche et demande au journaliste de cesser de la harceler. Mais jusqu’ici Adama persiste dans ses accusations, et le ciel continue de planer sur une bataille larvée autour d’un détournement présumé qui oppose ce beau monde de chez Dame Justice

Pourquoi diantre, au lieu de passer son temps à faire des récriminations, Aïssata qui est par ailleurs avocate, ne porte-t-elle pas plainte pour le clap de fin de cette histoire qui a trop duré pour les sénégalais impatients de connaître la suite ? Question à 1000 Dalasis, pour permettre à tout le monde de participer au jeu. Mais oppose, depuis samedi, Adama Gaye et Me Aïssata Tall Sall. Le journaliste a, dans une publication sur Facebook, accusé l’ancien Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de malversation dans le marché de production des bracelets électroniques. « Aïssata Tall Sall, je ne vous diffame pas. J’ai juste une question : Est-il vrai que le mari de votre fille a obtenu le marché des bracelets électroniques, surfacturé de 300 millions à trois milliards de francs Cfa ? Malick Sall, dit Milouche, viendra aussi répondre !

L’heure des comptes et mécomptes sera impitoyable. Sortez le marché des bracelets électroniques ! C’est une demande nationale, Aïssata… Tout le reste est gesticulations verbeuses. Et puis, qui se sent morveuse n’a qu’à se moucher ! », avait-il ironisé.


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