D’abord « Astakhfiroulah », puisque ce sont ses propres propos, et non les nôtres. Ensuite Astakhfiroulah pour ceux qui seraient tentés de croire que nous aussi, nous cherchons à tirer à boulets rouges sur ces religieux, alors que nous sommes du même bord dans leur lutte pour l’assainissement des mœurs.
Enfin « Astakhfirourlah nak », parce que reparler des prouesses de Fatoumata Ndiaye (« Tampi » avant d’être Tampani »), c’est toujours raviver des rancœurs dans le cercle de ses anciens amis du mouvement, depuis qu’elle s’est affranchie pour devenir collabo zélée. Mais que voulez-vous ? Nous sommes obligés de la réinscrire à l’ordre du jour. N’est-ce pas elle-même qui passe son temps à chercher le buzz à travers des interviews-bidon qui n’ont pour objet que de la ramener à la surface de l’actualité ?
Nous allons donc reparler de Fatou. Mieux, nous lui passons le micro pour nous édifier sur certaines de ses déclarations qui hantent le Net, comme elle seule sait le faire : « Effectivement et j’assume. Je dis que beaucoup d’imams et de cadres appartenant à « And Samm Jikko » sont des coureurs de jupons. Certains d’entre eux m’ont fait toutes sortes de propositions dont des demandes en mariage, mais je n’ai pas donné suite. Pour dire donc…. »
Pour dire donc quoi ? Y a-t-il du mal à convoiter une femme libre et pourquoi la « Diane chasseresse » a-t-elle attendu tout ce temps pour commencer à dénigrer l’association des religieux ? A quelles fins ?
Pour l’instant, on ne sait pas encore, même si certaines de ses amies parlent plutôt de sortie commanditée. Mais un peu de patience. « Yenna ma gueneu kham. »
Sebé