Fatoumata Danso, cette pro-Sonko établie quelque part en Europe mais que tout le monde connaît au Sénégal, ne passe jamais inaperçue.
Militante convaincue du « Pastef » et toujours à la bonne source pour informer les membres de sa formation politique sur les derniers sujets d’actualité du pays, elle compte naturellement des milliers de « followers » qui l’ attendent chaque matin, des inconditionnels qui boivent ses paroles comme du petit lait, mais surtout des kamikazes prêts à en découdre avec le monde entier, pour lui assurer sa sécurité.
Demandez simplement à Françoise Hélène Guèye (une autre compatriote résidant aux Usa, à la base du mouvement de soutien à Adji Sarr qui a fini en eau de boudin à cause de nombreuses querelles et de suspicions intestines), ou à notre consœur Maty 3 Pommes qui a récemment vécu son courroux.
C’est qu’il ne faut pas énerver Fatoumata Danso. Ni par de fausses accusations sur ses camarades de parti, ni par de vrais mensonges comme seuls savent en distiller les politiciens.
Là, elle devient méconnaissable. Elle entre dans une rage folle qui la fait insulter comme un charretier, avec des mots indignes de sortir de la bouche d’une femme éduquée, d’une vraie dame si vous préférez.
Peut-être que livrée à sa furie, elle ne se rend toujours pas compte elle-même de ce qui sort de sa bouche mais si elle se demandait pourquoi ses « likes » se rétrécissent comme peau de chagrin ces derniers temps, sûrement qu’elle comprendrait que la vulgarité et les insultes ne militent pas en sa faveur, ni en celle de son chef de parti.
Ce sont les gars de Sonko qui devraient la ramener à la raison, ne serait-ce que pour l’image qu’on leur prête sur la toile.
CEBE