Un volontaire de la Croix-Rouge nommé B. Niang est accusé de viol sur une malade du coronavirus âgée de 20 ans admise à l’hôtel Novotel. Libération révèle en intégralité la déposition de la victime. Ses aveux sont terrifiants et torrides.
Au 6e jour, un individu que je n’arrivais pas à identifier à cause de sa tenue de protection est venu dans ma chambre pour m’apporter le petit-déjeuner. Il m’a dit que je suis timide et qu’à chaque fois qu’il m’apporte le petit déjeuner, je ne daigne pas le regarder dans les yeux. Avant même que je ne lui réponde, il s’est introduit dans ma chambre, ce qu’ils ne sont pas autorisés à faire. J’avais peur, personne ne pouvait m’entendre à cause des portes blindées. Je résistais, mais. Il a enlevé sa tenue de protection ainsi que son pantalon. Il a enlevé son gant de protection, qu’il a mis sur son sexe en guise de préservatif. Il a soulevé ma robe et enlevé mon sous-vêtement avant d’introduire ses deux doigts dans mon sexe. Puis il a écarté mes deux jambes. Le bout de ma robe était retombé couvrant de fait mon sexe. Je continuais à résister, malgré tout il a réussi à me pénétrer …