La Fondation Merck offre près de 1050 bourses d’études sur les 2230 destinées aux femmes médecins dans le cadre de ses efforts en faveur de l’autonomisation des femmes à l’occasion de la journée internationale de la Femme 2025. Dans l’ensemble, la Fondation Merck a accordé plus de 2 230 bourses à des médecins de 52 pays dans 42 spécialités médicales cruciales et mal desservies.
La Fondation Merck qui regroupe les Premières Dames d’Afrique et d’Asie, qui sont également leurs Ambassadrices ont marqué la « Journée Internationale de la Femme 2025 », à travers leur campagne « Plus Qu’une Mère » et « Programme de bourses d’études », dans le cadre de leur mission d’autonomisation des femmes. La sénatrice, Dr. Rasha Kelej, CEO de la Fondation Merck et Présidente de « Plus Qu’une Mère » rend hommage à leur force, leur résilience et à leurs réalisations. « Avec mes sœurs, les Premières Dames d’Afrique et d’Asie, nous célébrons les femmes tous les jours à travers notre campagne « Plus Qu’une Mère ». Un témoignage de notre engagement à renforcer l’autonomisation des femmes en général, et des femmes infertiles en particulier, qui sont confrontées à la stigmatisation de l’infertilité, en leur donnant accès à l’information, à l’éducation, au changement de mentalité et à l’autonomisation économique », lance-t-il.
Et d’ajouter : « Je suis également très fière de partager avec vous que sur les 2230 bourses médicales accordées dans 52 pays dans 44 spécialités cruciales et mal desservies, 1046 bourses, soit près de 50 %, ont été accordées à des femmes diplômées en médecine, dans le cadre de notre mission d’autonomisation des femmes ». La campagne « Plus Qu’une Mère » de la Fondation Merck, lancée en 2016, est une campagne puissante qui définit des interventions visant à renforcer les capacités de qualité et d’équité en matière de soins de reproduction et de fertilité, à briser la stigmatisation de l’infertilité et à sensibiliser à la prévention de l’infertilité et à l’infertilité masculine. « Je suis très fière du travail que nous faisons à la Fondation Merck pour renforcer et améliorer les capacités de soins de fertilité à travers l’Afrique et l’Asie, en soutenant les femmes sans enfants et les couples dans leur parcours de fertilité. J’ai l’immense joie de partager avec vous que jusqu’à présent, nous avons accordé plus de 680 bourses d’études en embryologie, fertilité et soins reproductifs à de jeunes médecins de 39 pays, améliorant ainsi l’accès à la santé des femmes », laisse-t-elle entendre.
Elle indique que leurs anciens boursiers sont formés pour devenir les premiers experts locaux dans leurs pays, où il n’y avait jamais eu d’embryologistes ou de spécialistes de la fertilité avant ce programme, comme en Gambie, Burundi, Guinée, Tchad, Niger, Sierra Leone, Liberia, Malawi, Congo et dans d’autres pays encore. « Avec les Premières Dames d’Afrique et d’Asie, et d’autres partenaires importants, nous écrivons l’histoire et remodelons le paysage de la fertilité et des soins reproductifs en Afrique et au-delà », a déclaré le Dr. Kelej.
Dans l’ensemble, la Fondation Merck a accordé plus de 2 230 bourses à des médecins de 52 pays dans 42 spécialités médicales cruciales et mal desservies. « Nous soutenons également les femmes sans enfant en les aidant à créer leur propre petit commerce. Il s’agit de donner à chaque femme le respect et le soutien qu’elle mérite pour mener une vie épanouie, avec ou sans enfant », a expliqué le Dr. Rasha Kelej. Selon l’OMS, plus de 180 millions de couples dans les pays en voie de développement, soit un sur quatre, luttent contre l’infertilité. Dans de nombreuses cultures africaines, l’infertilité fait l’objet d’une profonde stigmatisation sociale, les femmes étant souvent les seules responsables de l’incapacité à concevoir.
La pression et le jugement de la société associée à l’absence d’enfant conduisent fréquemment à l’isolement, à la discrimination et à l’ostracisme et, dans de nombreux cas, au divorce ou même à des violences physiques et psychologiques. Dans le cadre de la campagne « Plus Qu’une Mère », la Fondation Merck a lancé plusieurs programmes de sensibilisation des communautés.
NGOYA NDIAYE