Top infos Rewmi du 14 07 2021: Un autre accident de la circulation routière s’est produit hier mardi 13 juillet sur la piste latéritique Diaobé-Wassadou , Mouvement d’humeur à Dakar Dem Dikk, où la gestion du tout nouveau directeur est décriée par les syndicalistes. A peine installé, le successeur de Me Moussa Diop est vivement contesté.
Plainte contre Sen’Eau
Les perturbations dans la distribution de l’eau suscite des vagues. Frapp et le collectif pour la défense des consommateurs du Sénégal ont déclenché une procédure pour porter plainte contre la Sen’Eau qui peine à satisfaire les usagers. Les deux organisations ont annoncé la mise en place de collectifs dans tous les quartiers pour porter ce combat pacifique en plus de sit-in devant les agences de Sen’Eau. Il faut dire que ces perturbations touchent plusieurs localités du pays. Ce mardi d’ailleurs, Sen’Eau a encore annoncé aux habitants de Popenguine/Ndayane que « des travaux de maintenance seront effectués le mercredi 14 juillet 2021 à partir de 8 heures. Ces travaux nécessiteront l’arrêt momentané de la production entraînant des perturbations dans la desserte.
Accident
Un violent accident de la circulation suivi de feu, impliquant un porte-conteneurs et un véhicule particulier de type L200 s’est produit hier sur l’autoroute à péage à hauteur de la sortie Numéro 10 en allant vers Diamniadio. Le camion qui s’est renversé, a pris feu et a entraîné une coupure de la circulation sur l’autoroute entre la gare de Rufisque et le Centre international de Conférence Abdou Diouf (Cicad) sens Dakar-Aibd. L’autoroute était fermée juste après la station de péage de la sortie 9 Rufisque-Keur Massar.
Accident (Bis)
Un autre accident de la circulation routière s’est produit hier mardi 13 juillet sur la piste latéritique Diaobé-Wassadou (département de Vélingara). L’autocar s’est renversé causant 13 blessés dont 4 graves. Alertés, les éléments de la brigade de gendarmerie du secteur se sont rendus sur les lieux pour constater les faits. Les blessés ont tous été évacués à l’hôpital régional de Kolda. Une enquête est en cours…
Sit-in
Le syndicat des travailleurs civils de l’hôpital Principal de Dakar a tenu un sit-in, ce mardi, de 8h à 10h, à l’entrée de la structure. Les membres dudit syndicat qui ont tous arboré des brassards rouges, réclament une matérialisation des négociations entamées depuis la semaine dernière, le paiement des avances de Tabaski pour les 90 agents qui ont demandé un chèque. Toujours au sujet de la série de doléances, le syndicat exige le respect des travailleurs de l’hôpital, le paiement des six mois d’arriérés de la prime des personnels du centre de traitement de la Covid19 que lui doit le Ministère de la Santé et de l’Action sociale. Et ce n’est pas tout. Car ces travailleurs civils disent ‘’Halte à la violation de la réglementation sur les contrats de travail’’ et demandent aussi le droit à une meilleure information sur la gestion et/ou les activités de l’hôpital Principal de Dakar.
Dakar Dem Dikk
Mouvement d’humeur à Dakar Dem Dikk, où la gestion du tout nouveau directeur est décriée par les syndicalistes. A peine installé, le successeur de Me Moussa Diop est vivement contesté. Ils dénoncent les promesses non tenues d’Omar Boun Khatab Sylla. « Tous les engagements qu’il avaient pris n’ont pas été respectées », déplore le syndicat nouveau des travailleurs de Dakar Dem Dikk. Il s’agit notamment du relèvement du parc automobile, l’amélioration des conditions de travail des travailleurs. Le Syndicat Nouveau des Travailleurs de DDD dénonce également le recrutement abusif de prestataires dans l’entreprise et demande son arrêt immédiat et exige la promotion de tous les agents ayant plus de dix ans dans leur corps, à commencer par les receveurs de matricule 305 et le reclassement immédiat des techniciens en catégorie THQ et le remplacement des postes vacants. Sur un autre point, le Syndicat exige l’audit de la commande des pièces de rechange, la publication de l’audit du personnel que la direction générale elle-même avait ordonné en fin d’année 2020.
La vérité sur le séjour…
Depuis avant-hier lundi, une info circule sur la toile et devenue presque virale et fait état de l’installation de l’ancien Président nigérien Mahamadou Issoufou à Dakar, dans la capitale sénégalaise. Après vérifications auprès de bonnes sources, Confidentiel Afrique a reçu la confirmation que l’ex-Chef de l’État nigérien était seulement de passage à Dakar avant de s’envoler dans plusieurs capitales africaines et du monde arabe dans le cadre de l’agenda de sa fondation Issoufou Mahamadou portée sur la bonne gouvernance, la paix, la démocratie, le leadership et les civilisations des peuples.
…de l’ex Président nigérien à Dakar
L’ex-homme fort de Niamey a bien voulu passer deux jours dans la capitale sénégalaise, juste le temps de se reposer et saluer son jeune frère et homologue, le Président Macky Sall. L’ancien Président nigérien, accompagné par son épouse et son Secrétaire exécutif, devra quitter la capitale sénégalaise ce mardi après-midi pour entamer sa tournée africaine et dans le monde arabe dans le cadre de l’agenda de sa fondation, laquelle passe à la vitesse supérieure.
Du nouveau dans l’affaire…
Depuis l’émission d’un mandat d’arrêt international, Karim Keïta, fils d’IBK, ne s’est certes pas présenté devant le juge malien, mais plusieurs choses ont tout de même bougé. Première conséquence, l’avocat de la famille de Birama Touré, à l’origine d’une procédure en France, a prévu de se constituer également au Mali, dans les jours qui viennent. À l’époque, il y a plus de cinq ans, la famille avait choisi de déposer plainte en France, jugeant la justice malienne peu à même d’enquêter sur un dossier impliquant le fils du président de la République alors en exercice.
…du fils d’IBK, Karim Keïta
Les allégations de torture et d’assassinat permettaient en effet d’invoquer la compétence universelle de la justice française dans ce dossier. Mais avec l’émission de ce mandat d’arrêt, la justice malienne semble vouloir donner une nouvelle impulsion à l’enquête. Est-ce parce que le juge a collecté des éléments nouveaux ? Ou simplement parce que le contexte est plus favorable, le père de Karim Keïta, IBK, n’étant plus au pouvoir ? Affaire à suivre !