« Rojinguettes » ? Le mot n’existe pas encore. Mais si on fait attention aux jolies birmanes qui ressemblent beaucoup aux « driankés sénégalaises » ( facon Batoroumarou, ) ou la veuve Dada, le « marabout de Médina Salam », on peut integrer le mot dans notre dictionnaire local.
En Birmanie, nos coreligionnaires rohingas qui continuent de se faire tirer comme des lapins, ont besoin d’une solidarité musulmane pour les tirer d’affaire. Mais selon le marabout de notre quartier, la priorité des sénégalais devrait être ailleurs:d’abord nous intéresser aux centaines de nationaux en « perpétuelle » détention préventive dans nos prisons, et après, nous occuper des adeptes du jihadisme juvénile et des lecteurs de la revue du terrorisme expliqué en 10 leçons.
L’imam qui a regardé des milliers de fois des reportages venus de cette partie d’Asie toujours surchauffée, assure sans sourciller, qu’il nous faut faire quelque chose pour les « Rohingas », mais surtout les « rohinguettes » qui sont les birmanes les plus mignonnes d’Asie.
Sébé
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