L’affaire du double meurtre du danseur Aziz Dabala et du jeune Wally continue de défrayer la chronique au Sénégal. Ce drame, survenu dans la capitale, a pris une tournure encore plus troublante à mesure que de nouveaux éléments émergent. Actuellement nombreux sont des jeunes « Tiktokeurs » ou encore des Journalistes « Facebook » qui ont gelés leurs activités ou font le « sauve qui peut ». Au-delà du simple fait divers, l’affaire prend des proportions inattendues, mettant en lumière des aspects cachés de la vie de personnalités publiques et des milieux influents de Dakar.
En marge de l’affaire «Aziz Dabala», la Division spéciale de cybersécurité (DSC) vise un groupe de Tiktokeurs et de «journalistes de Facebook», selon Libération. Le journal informe que les misent en cause «ont été convoqués ou entendus à la DSC» et que «cette procédure risque de conduire à plusieurs arrestations».
Les plaignants reprochent à ces derniers d’avoir affiché leurs photos sur les réseaux sociaux, affirmant qu’ils ont été arrêtés dans le cadre de l’enquête sur le double meurtre du Technopole, qui a emporté le danseur «Aziz Dabala» et son neveu «Wally».
Le seul lien entre les auteurs des plaintes et l’affaire, dit-on, est qu’ils portent les mêmes noms et prénoms que deux des suspects envoyés en prison ce mercredi par le Doyen des juges du tribunal de Pikine-Guédiawaye, chargé du dossier.