GO Daddis est gracié, mais risque de revoir sa copie

Ces histoires de grâces négociées en Afrique là…Moi je ne m’y fierai jamais. Et si jetais un black president, je n’y compterais jamais trop pour me croire tiré d’affaire.
Seize ans après le massacre du 28 septembre 2009, la douleur des victimes reste toujours vive avec des zones d’ombre judiciaires persistent.
Hiér, au cours  d’une conférence de presse, la Fédération internationale pour les droits humains, a dressé un constat amer :.
le procès historique ouvert en 2022 est loin d’avoir livré tous ses secrets. Le
président Me Alpha Amadou DS Bah a dénoncé les blocages dans la suite judiciaire du dossie, et pointé, en particulier, l’inégalité dans le processus d’indemnisation, avec des victimes qui ont bénéficié de réparations, et dautres, pas.

Ainsi, une grâce présidentielle a été accordée par decret présidentiel au capitaine Moussa Dadis Camara elon lui, cette décision. Mais comme cette décision viole les dispositions du code de procédure pénale, une prochaine mise à jour de tous les dossiers, demeure une sollicitation permanente des  » droits-de-l’hommistes. »

Sébé