Les paroles qui vont suivre viennent de la chanson de Georges Moustaki intitulée : « Le métèque. »
Elle date des années 80, mais elle est toujours d’actualité pour servir.
Nous l’avons transformée en ode et la dédions à ce vaurien de Blaise Compaoré, l’ancien président de la République du Burkina Faso que le monde entier a vomi, et qui vit en SDF de luxe à Abidjan.
En souhaitant qu’un jour, les autorités ivoiriennes le ramènent dans son pays pour être jugé.
« Avec sa gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et ses cheveux aux quatre vents
Avec ses yeux tout délavés
Qui lui donnent l’air de rêver
Lui qui ne rêve plus souvent)
Avec ses mains de maraudeur
De musicien et de rôdeur
Qui ont pillé tant de jardins…
Avec sa bouche qui a bu
Qui a embrassé et mordu
Sans jamais assouvir sa faim
Avec sa peau qui s’est frottée
Au soleil de tous les étés
Et tout ce qui portait jupon
Avec (son cœur qui a su faire)
Souffrir autant qu’il a souffert
Sans pour cela faire d’histoires
Avec son âme qui n’a plus
La moindre chance de salut
(Pour éviter le purgatoire)
Fin de l’extrait de la chanson, mais sans doute pas fini de l’aventure du meurtrier de Thomas Sankara que les Burkina besoin ont juré de venger, même si cela devait leur prendre 100 ans.
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